| Nom | Entrez des mots ou débuts de mots. L'ordre est indifférent, de même que les caractères accentués ou non. Tous les termes sont tronqués implicitement. |
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Département Histoire de la santé.
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| Dechambre, Amédée (dir.) - Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales / [publ. sous la] dir. de M. A. Dechambre . - série 2, tome 23, PER - PHA. - Paris : G. Masson : P. Asselin - 1887 |
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[Savoyard] Né à Montmélian le 2 juillet 1781, il était ancien interne de l’Hôtel-Dieu de Lyon et soutint sa thèse de doctorat en médecine à la faculté de Paris le 18 février 1808 : « Dissertation sur quelques rapports de l’Histoire naturelle avec la Médecine » (BIU Santé, Paris, 1808, n° 9, 45 p.). M. Sue, père de l’écrivain Eugène Sue, était président du jury et Percy était un des examinateurs. Selon Albert Albrier, le Dr. Antoine Petroz, sarde, fut naturalisé français le 3 octobre 1831. Frère de pharmacien, il pratiqua la médecine homéopathique à Paris, rue de Grammont, 19, adresse mentionnée dans la liste établie en 1840 par l’Association philanthropique savoisienne de Paris, dont il était membre cotisant. En 1845 il exerçait l’homéopathie rue des trois Frères, 2 bis, de midi à 2 h. En 1854, il recevait de midi à 2 heures, rue La Rochefoucault, 16 (Almanach des 500.000 adresses). M-Antoine Petroz avait épousé la fille du Dr. Esparron, fut décoré de la Légion d’Honneur, ainsi que des ordres des Saints Maurice et Lazare. Il publia beaucoup sur l’homéopathie, notamment les « Lettres à un médecin de province », comme l’a rappelé Caffe dans le Journal des connaissances médicales, lorsque le docteur Petroz mourut le 29 août 1859 au Plessy-Bouchard, (Seine et Oise), « après 20 jours d’une dysenterie incoercible ». |
Cursus scolaire Cette fiche est extraite du corpus des étudiants étrangers. |