Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
4e de 6 parties, note 17.
Note [17]

V. notes :

  • [32‑1] infra pour la conclusion du Iudicium novum de Venis Lacteis de Jean ii Riolan, paru dans les Opuscula nova anatomica (Paris, 1653, v. supra note [15]), pages 21‑33 ;

  • [8], Brevis Destructio, chapitre iv, pour un extrait de son tout dernier jugement sur les lactifères mésentériques qui allait figurer dans l’édition posthume du Manuel anatomique et pathologique (Paris, 1658, traduit en français par François Sauvin, Paris, 1661) ;

  • [29], lettre de Jacques Mentel à Jean Pecquet, pour Galien sur Hérophile.

Gaspare Aselli avait eu la gloire de décrire les lactifères mésentériques en 1622 chez le chien vivant en période de digestion (livre publié en 1627, v. note [1], Experimenta nova anatomica, chapitre i). Ils avaient échappé à Riolan car ils sont vides chez les cadavres qui fondaient ses travaux, où ij recourait rarement à la vivisection animale. Il était mauvais joueur quand il :

  • prétendait avoir « jadis » et « très souvent » vu les lactifères en ouvrant des condamnés qu’on avait bien nourris avant de les pendre (dans son Anthropographie de 1649, v. notes [5‑2], première Responsio, 3e partie, et [41] infra) ;

  • attribuait, selon Galien (iiie s.), leur première vague description à Hérophile (iiie s. av. J.‑C.), dans son acharnement coutumier à croire que les Anciens avaient déjà tout vu et compris.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
4e de 6 parties, note 17.

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(Consulté le 08/12/2025)

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