Hippocrate avait une grande confiance en la Nature : en cas de dérèglement humoral, il pensait qu’à des jours déterminés, se déclenchait une crise, sorte de nettoyage organique qui pouvait se manifester par exemple par des vomissements.

Peu interventionniste en matière thérapeutique, il préférait attendre, convaincu qu’un médecin se doit d’abord de ne pas nuire (Primum non nocere).

Pour garantir l’équilibre des humeurs, rien de mieux qu’une diététique quotidienne : régimes, exercices et modération en toutes choses.
Un arsenal thérapeutique immuable :
saignare, purgare, clysterum donare
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