Les traités et les œuvres d'Ambroise Paré

Traicté de la peste, de la petite verolle et rougeolle, Paris, Gabriel Buon, 1580.

[BNF. Gallica]

Publiée chez Gabriel Buon, l’éditeur des Œuvres collectives, et dédiée au prévôt et aux échevins de Paris, cette nouvelle édition est expliquée par l’épidémie de peste qui touche la ville. Même si les Œuvres de 1575 et 1579 contiennent un Livre de la peste, Paré souhaite mettre à disposition un livret de petit format pour le "soulagement des jeunes chirurgiens" qui n’auraient pas le moyen d’acheter toutes ses œuvres.

Dans les Œuvres de 1585, à la fin du Livre de la peste, Paré réemploie une planche des livres d’anatomie, pour n’en retenir que la valeur moralisante, s’inscrivant ainsi dans une longue tradition qu’illustre Boccace. [Oeuvres, 1585, Livre XXII, De la peste, p. 903. BIUM 1709]	Dans les Œuvres de 1585, à la fin du Livre de la peste, Paré réemploie une planche des livres d’anatomie, pour n’en retenir que la valeur moralisante, s’inscrivant ainsi dans une longue tradition qu’illustre Boccace. [f. 249v°-250r°. BIUM 82949]	Allégorie de la peste, dans un manuscrit italien (1427) du Decameron de Boccace. [ ? BNF Ms Italien 63, fol. 6.]
Dans les Œuvres de 1585, à la fin du Livre de la peste, Paré réemploie une planche des livres d’anatomie, pour n’en retenir que la valeur moralisante, s’inscrivant ainsi dans une longue tradition qu’illustre Boccace.		Allégorie de la peste, dans un manuscrit italien (1427) du Decameron de Boccace.