La BIU Santé Pharmacie participe aux célébrations du bicentenaire de la découverte de la quinine organisées par la Faculté de pharmacie de Paris. A l’occasion de la Fête de la science, une exposition retraçant l’histoire de ce célèbre remède contre le paludisme se tient du lundi 4 au samedi 9 octobre 2021 sur le site de la faculté.
De l’identification des propriétés fébrifuges de l’arbre à quinquina par les Jésuites au XVIIe siècle à la production industrielle de quinine au XIXe siècle, en passant par l’isolement de la quinine en 1820 par les pharmaciens et professeurs de l’École de pharmacie Joseph Pelletier (1788-1842) et Joseph-Bienaimé Caventou (1795-1877), l’exposition réunit une sélection de documents provenant des collections patrimoniales de la BIU Santé et d’objets conservés par le Musée François Tillequin – Collections de matière médicale. Cinq courts-métrages d’animation réalisés par des élèves de l’école Estienne retracent l’épopée de la quinine en images. Affiches publicitaires, échantillons d’écorce de quinquina en provenance du Pérou et autres récits d’expéditions scientifiques jalonnent le parcours installé dans les Salons du Doyen de la Faculté de pharmacie de Paris (entrée libre). L’exposition accompagne une journée de conférences prévue le jeudi 7 octobre prochain (programme et inscription en ligne).
Initialement prévues en 2020, les célébrations autour du bicentenaire de la quinine ont été reportées au mois d’octobre 2021 en raison de la crise sanitaire. La présentation du pass sanitaire est obligatoire.
Au début du XXe siècle, les droguistes développent leurs activités et proposent aux pharmaciens d’officine des catalogues imprimés, ou « Prix-courant ». Ces derniers recensent les matières premières nécessaires à la fabrication des préparations magistrales ainsi que les médicaments inscrits au Codex et des spécialités. Ces drogueries – la Pharmacie centrale de Paris (1852), les Établissements Goy (1878) ou encore la Cooper (1907) pour ne citer que les plus connues d’entre elles – peuvent être considérées comme de véritables précurseurs de l’industrie pharmaceutique. Ces deux dernières usines sont par ailleurs largement représentées au sein du corpus.
Même si tous les catalogues ne sont pas datés, on peut raisonnablement circonscrire l’ensemble du corpus à la première moitié du XXe siècle. Le plus souvent organisés par catégories de produits (capsules, chocolats médicamenteux, vins médicinaux…), ces catalogues, dont certains sont particulièrement soignés d’un point de vue éditorial, indiquent le « prix courant » de chaque produit. Ils assortissent souvent ces derniers d’illustrations les représentant ou d’ étiquettes qui orneront les conditionnements des spécialités. Les pastilles MBC, « Pastilles Menthol Cocaïno-boraté », créées en 1895 et destinées à soigner les « affections de la gorge », sont par exemple le produit phare des Établissements Goy.
Ces catalogues fournissent de précieuses informations, commerciales et scientifiques, sur les médicaments et produits pharmaceutiques proposés et autorisés à la vente à une époque donnée. Certains d’entre eux ne se limitent pas à l’énumération de leur fonds de commerce, ils s’enrichissent par exemple d’une présentation historique de la société, comme c’est le cas pour la maison Parke-Davis ou de vues photographies de leurs ateliers, à l’instar des Établissements Goy. D’autres possèdent des annotations manuscrites, probablement ajoutées là par le pharmacien pour qui il s’agit avant tout d’un outil de travail.
L’Académie nationale de Pharmacie est l’héritière directe de la Société de pharmacie de Paris créée le 3 août 1803, elle-même issue de la Société libre des pharmaciens de Paris fondée en 1796. Son premier président n’est autre qu’Antoine-Augustin Parmentier, célèbre pharmacien et agronome. La Société a pour but de concourir aux progrès des sciences et spécialement de la pharmacie, de la chimie, de la botanique et de l’histoire naturelle. Reconnue d’utilité publique le 5 octobre 1877, elle prend le nom d’Académie en 1946, puis d’Académie nationale en 1979. Une revue publiée à partir de 1943, les Annales pharmaceutiques françaises, contribue à son rayonnement.
La publication contient les comptes rendus des travaux des différents membres de l’Académie, la liste des membres qui la composent, les remises de Prix récompensant les travaux scientifiques éminents, ainsi que le récit des événements qui ponctuent la vie de l’Académie*. Ces éléments permettent de retracer non seulement l’activité de l’Académie et de ses membres, mais aussi de dresser un tableau évolutif de l’état de la recherche en sciences pharmaceutiques, et en creux, le portrait d’une communauté de savants, praticiens et chercheurs entièrement dédiés à l’essor d’une même discipline. Depuis les débuts de la Société de pharmacie de Paris, cette communauté a considérablement évolué : exclusivement composée de pharmaciens parisiens à ses débuts, son rayonnement s’accroît au fil des ans à l’ensemble du pays et hors de France, grâce à la présence de membres répartis sur tout le territoire et de membres correspondants étrangers. En 2005, elle est officiellement ouverte aux non-pharmaciens et accueille médecins, scientifiques, vétérinaires et juristes.
Le pôle Pharmacie de la BIU Santé conserve les archives de la Société depuis ses origines jusqu’à la fin du XIXe siècle.
* Toutes les séances publiques n’ont pas nécessairement fait l’objet d’une publication séparée par la Société de pharmacie. On peut néanmoins les retrouver dans le Journal de pharmacie et de chimie, partiellement numérisé dans Gallica, par exemple ici pour l’année 1868 ou encore ici pour l’année 1871.
Les alcaloïdes sont un ensemble de molécules d’origine naturelle, renfermant du carbone, de l’hydrogène et, plus spécialement, de l’azote. La plupart possèdent une activité biologique marquée qui a suscité de longue date un intérêt thérapeutique.
Nous nous intéressons cette année à la thériaque, remède élaboré au 1er siècle par Andromaque, médecin de Néron. Il doit son nom à l’un de ses principaux ingrédients, la chair de vipère, Thêriakos signifiant en grec « ce qui concerne les bêtes venimeuses ». Composé de plus de 70 ingrédients, dont l’opium et la chair de vipère, il est à l’origine utilisé pour lutter contre les venins et les poisons, puis pour soigner toutes sortes de maux, jusqu’au XVIIIe siècle : épilepsie, difficultés respiratoires, maux d’estomac, hémorragies, goutte, paralysie, fièvre, mélancolie… La thériaque fait officiellement partie de la pharmacopée française jusqu’en 1884. « Après avoir tenu une si grande et si longue place dans la pharmacie et la thérapeutique, elle quitte le domaine de l’histoire pour être reléguée dans la légende » conclut l’édition de cette même pharmacopée en 1908. Le parcours thématique est illustré par les collections du Musée François Tillequin – Collection de matière médicale et par les ouvrages anciens issus des collections patrimoniales de la BIU Santé pôle Pharmacie. Continuer la lecture de « Journées européennes du patrimoine 2019 : la thériaque »
Lorsque vous recherchez des informations sur un apothicaire ou un pharmacien reçu à Paris, plusieurs ressources s’offrent à vous. Pour vous aider dans votre recherche, nous vous proposons une sélection de ressources, disponibles en ligne ou consultables à la bibliothèque du pôle Pharmacie de la BIU Santé.
Un article très bien conçu intitulé « Où trouver des renseignements sur un apothicaire ou un pharmacien reçu à Paris ? » a été publié par Marie-Edmée Michel, conservatrice des bibliothèques, dans la Revue d’histoire de la pharmacie en 1988. Cet article reste tout-à-fait pertinent malgré certaines informations désormais obsolètes, notamment concernant les registres de scolarité des étudiants en pharmacie. Ces registres ne sont plus conservés à la Faculté de pharmacie de Paris mais ont été versés aux Archives nationales après avoir été rétro-convertis dans la Base biographique de la BIU Santé. Nous citons également de nouveaux outils de recherche que vous pouvez librement utiliser et qui vous feront gagner un temps précieux par rapport au chercheur de 1988 !
Pour démarrer votre recherche : la Base biographique de la BIU Santé
Nous vous conseillons vivement de consulter la Base biographique de la BIU Santé pour toute recherche concernant un professionnel de santé, un savant, qu’il soit botaniste, chimiste, biologiste, naturaliste et bien sûr, apothicaire ou pharmacien. La base compile des informations biographiques provenant de nombreuses sources en histoire de la santé. Pour en savoir plus sur le contenu et l’utilisation de la Base biographique, vous pouvez consulter cet article.
Concernant les apothicaires et pharmaciens, les sources suivantes sont compilées dans la base :
La Revue d’histoire de la pharmacie, également disponible en accès libre et gratuit sur Persée. Attention, le dépouillement de cette revue dans la base est partiel et non exhaustif : il ne vous dispense pas de rechercher de votre côté dans la revue en ligne ou sur papier.
Les registres de scolarité de l’École puis de la Faculté de pharmacie pour la période 1884-1945. Attention, le volume 1 renseignant la période 1803-1882 a malheureusement été perdu et n’alimente pas la base.
Les dossiers biographiques réalisés par le professeur Georges Dillemann (1903-1999), ancien professeur et vice-président de la Faculté de pharmacie de Paris. Plus d’informations sur cette collection ici.
Archives et manuscrits
Les archives et manuscrits conservés au pôle Pharmacie sont systématiquement signalés dans Calames, le Catalogue des Archives et manuscrits de l’Enseignement supérieur. Ils incluent notamment les archives de la Communauté des apothicaires-épiciers de la Ville de Paris, puis du Collège de pharmacie créé en 1777 puis de l’École de pharmacie de Paris à partir de 1803. Nous renvoyons ici à l’article de Marie-Edmée Michel qui détaille cet ensemble sous l’angle d’une recherche biographique. Le registre 7, le plus ancien conservé dans le fonds, est numérisé et disponible dans Medic@, la bibliothèque numérique de la BIU Santé.
Où trouver un apothicaire reçu à Paris ?
Certaines des sources imprimées citées dans l’article de Marie-Edmée Michel sont désormais numérisées :
La plupart des sources d’archives concernant la période contemporaine (XIXe-XXe siècles) sont conservées aux Archives nationales. Avant de vous déplacer au CARAN ou à Pierrefitte-sur-Seine, vous pouvez consulter la Salle des inventaires virtuelle. Elle rassemble un grand nombre de répertoires, guides de recherche et inventaires qui faciliteront vos premiers repérages.
Plusieurs séries concernent spécifiquement l’École puis la Faculté de pharmacie de Paris, ainsi que les professions de santé :
Académie de Paris. Archives des facultés de droit, de pharmacie,
théologie, lettres et sciences, 1803-1959 ; services rectoraux, 1821-
1961 (1803-1961). Répertoire numérique détaillé (AJ/16/1603-AJ/16/5731)
Voir plus spécifiquement les tranches de cotes suivantes :
– AJ/16/1912-AJ/16/2481 : Faculté de pharmacie
– AJ/16/1912-AJ/16/2121 : Dossiers de scolarité des étudiants reçus au grade de pharmacien (par année et par ordre alphabétique), 1803-1946
– AJ/16/2122-AJ/16/2125 : Dossiers de candidats reçus en doctorat d’état de pharmacie
– AJ/16/2126-AJ/16/2192 : Dossiers de scolarité des étudiants ayant interrompu leurs études (ordre alphabétique), 1830-1940
– AJ/16/2193-AJ/16/2217 : Dossiers de scolarité des herboristes, 1882-1940
– […]
Ministère de l’Instruction publique, Enseignement supérieur. Établissements scientifiques et littéraires (2e division). Compagnies savantes, affaires médicales et jurys médicaux (2e bureau)
– F/17/6084-F/17/6570 : Profession de santé (médecins, officiers de santé, chirurgiens-dentistes, pharmaciens). Certificats d’aptitude aux grades
universitaires (1810-1905) Répertoire numérique détaillée
Parmi les sources imprimées citées par Marie-Edmée Michel, l’Alamanachroyal puis impérial puis national cité plus haut s’achève en 1919. Parmi les numérisation récentes, nous citons plus particulièrement le Guide Rosenwald en cours de numérisation dans Gallica, pour la période 1887-1908. Pour les périodiques, nous indiquons les états de collection et non la durée de vie de la publication.
BELLET, Paul. Les Membres résidants de la Société de pharmacie de Paris : 1803-1946, puis Académie de pharmacie : 1946-1979 et Académie nationale de pharmacie. 1981.
BIU Santé Pharmacie 162672 et 162704.
Quinze fonds d’ordonnanciers datant des XIXe et XXe siècles sont désormais consultables sur place au pôle Pharmacie de la BIU Santé. Ces documents sont des registres où le pharmacien d’officine consigne les produits et préparations pharmaceutiques prescrits sur ordonnance. Les inventaires de ces fonds sont disponibles sur la page dédiée aux fonds spécifiques de la BIU Santé. Ils seront prochainement signalés dans Calames, le catalogue en ligne des archives et manuscrits de l’Enseignement supérieur. Continuer la lecture de « Les fonds d’ordonnanciers au pôle Pharmacie »
La séance de la Société d’histoire de la pharmacie se tiendra le mercredi 20 mars 2019, à 16h30 en salle des Actes de la Faculté de Pharmacie de Paris (4, avenue de l’Observatoire, 75006 Paris).
Sous la présidence du professeur Olivier Lafont, elle abordera le programme ci dessous:
Une acquisition exceptionnelle vient enrichir les collections patrimoniales du Pôle pharmacie de la BIU Santé : la Concordi[a]e pharmacopolarum Barcinonensium, ou « Pharmacopée de Barcelone », dans son édition de 1535, est l’une des plus anciennes pharmacopées imprimées d’Europe après celle de Florence publiée en 1499. Cette acquisition a été réalisée avec le soutien de CollEx-Persée, infrastructure de recherche chargée par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche de favoriser l’accès aux chercheurs des gisements documentaires.
Le professeur Olivier Lafont, président de la Société d’histoire de la pharmacie, nous en dit plus sur cet ouvrage qui rejoindra très prochainement la bibliothèque numérique de la BIU SantéMedic@ :
« Seuls deux autres exemplaires de cette seconde édition de la pharmacopée de Barcelone sont répertoriés, encore n’y en avait-il aucun en France (on ne connaît qu’un seul exemplaire de la première édition de 1511). Le mot latin Concordia signifie : concorde, entente, harmonie. Il symbolise ici le fait que les apothicaires de Barcelone étaient tombés d’accord pour publier, en bonne entente avec les médecins de la ville, un formulaire destiné à servir de référence pour leur communauté. L’état matériel du livre est excellent, si ce n’est que la première page est absente et qu’un feuillet a été partiellement arraché. L’ouvrage relié en parchemin, totalement rédigé en latin et imprimé en caractères gothiques, se divise en plusieurs sections.
La première, la plus développée, ne comporte pas de titre, mais débute par un électuaire dont le nom « Electuarium de aromatibus », composé en caractères gras, en tient lieu. Elle traite à la fois des électuaires, des confections, des hières et des antidotes, tout en comportant accessoirement quelques poudres, une série de loochs, des sucres, quelques mellites, ainsi que des décoctions. La seconde partie est titrée : « De Syrupis », mais n’aborde pas exclusivement les sirops, puisqu’elle regroupe des formes apparentées, miels, mellites , oxymels et « oxisacchara » (ou oxycrat). Vient ensuite une très courte rubrique intitulée : « De collyris ». La section suivante, « De Trochiscis » est suivie de la partie intitulée « De pilulis » Cette association ne manque pas de logique, puisque trochisques et pilules sont des formes galéniques apparentées. Les médicaments externes ne se trouvent pas négligés, puisqu’une rubrique intitulée : « De Unguentis et Cerotis » regroupe onguents et cérats, et se trouve suivie d’une autre, « De Emplastris », qui aborde les emplâtres. La dernière thématique envisagée est celle des huiles médicinales, « De Oleis ». Le dernier feuillet se termine, en outre, par le colophon qui précise la date d’impression : 22 septembre MDXXXV. La table alphabétique des matières n’occupe pas moins de treize pages.
Les formules regroupées dans cette pharmacopée comportent généralement une mention du nom de leur auteur, avec parfois la précision de l’ouvrage dont elles sont tirées. L’auteur le plus souvent cité est incontestablement Mesue – ou plus exactement Pseudo Mesue. Le nom de Nicolas (en principe de Salerne) se trouve également très souvent cité, Platearius, l’auteur du Liber Iste et du Circa Instans, est peu mentionné, alors que Rhazès, comme Avicenne, font l’objet de plusieurs citations. Parmi les auteurs plus récents, se distinguent « Gilabertus Anglicus », Gilbert l’Anglais, auteur au XIIIe siècle d’un Compendium Medicinae, ou le célèbre Arnauld de Villeneuve désigné par son seul prénom « secundum Arnaldum », ou encore Guy de Chauliac qu’évoque la mention « secundum Guidonem ». Petrus Hispanus plus connu sous son nom de Pape Jean XXI est également cité.
Pierre de Argileta, Barthélémy de Montagnana, auteur d’un ouvrage intitulé : « Concilia Medica » en 1475, Pierre d’Abano, auteur du Conciliator en 1310 et quelques médecins locaux font l’objet de rares, voire uniques, citations.
On rencontre également des mentions faisant allusion non à un auteur particulier, mais à un usage répandu, comme : « secundum usum » ou à une pratique nouvellement apparue : « secundumusum modernorum », ou encore la formule plus personnelle : « exinventione nostra ».
L’ouvrage ne comporte pas d’illustration mais la page qui ouvre le texte présente un encadrement de bordures constituées d’une succession d’anges sur trois côtés et d’un décor Renaissance avec des sphinges sur l’autre. Une lettrine de grande taille mêle plusieurs étapes de la Résurrection. Cette scène évangélique s’avère bien adaptée à un électuaire d’aromates, en raison de la présence de Marie-Madeleine portant son pot. Dans la suite du texte, des lettrines plus petites et plus modestement ornées viennent égayer l’impression.
L’ensemble de cette pharmacopée n’est pas sans évoquer, par le fond comme par la forme, le Nuovo Receptario publié en 1498, lui-aussi imprimé en caractères gothiques, à Florence. »
Pour célébrer le Nouvel an chinois, le pôle pharmacie de la BIU Santé vous propose, dulundi 4 février au lundi 8 avril, une sélection d’ouvrages relatifs à la Chine.
Les ouvrages les plus récents sont consultables et empruntables aux horaires d’ouverture de la bibliothèque. Les documents issus de nos collections patrimoniales accompagnent cette présentation.
La sélection d’ouvrages contemporains couvre différents domaines : botanique, cosmétologie, pharmacopée, médecine…Nous en profitons par ailleurs pour mettre en avant les thèses d’exercice réalisées par les étudiants de la Faculté.
Le droit de la médecine chinoise dite « traditionnelle »: actes du Colloque sino-européen sur le statut juridique de la médecine et de la pharmacopée traditionnelles chinoises, des 16 et 17 décembre 2013, Hangzhou, Chine. Actes du XIIIe Colloque du Centre de droit de la santé d’Aix-Marseille, dir. Leca, Antoin ; Jun, Shen ; Banggui, Jin. Bordeaux : Les études hospitalières, 2015. Cote : 610.951 DRO
L’art de la guerre, par Sun Tzu ; texte établi et présenté par Samuel B. Griffith ; traduit de l’anglais par Francis Wang. Paris : Flammarion, DL 2017. Cote : 217728