Attention, le pôle Médecine de la BIU Santé (12, rue de l’École-de-Médecine) fermera exceptionnellement vendredi 26 octobre de 12h à 17h. Il sera de nouveau ouvert de 17h à 20h.
Le pôle Pharmacie (4, avenue de l’Observatoire) sera lui ouvert normalement le vendredi 26 octobre (de 9h à 20h). La salle Fialon fermera à 14h.
Les deux pôles seront ouverts samedi 27 octobre aux horaires habituels : 9h-20h (pôle Médecine) et 9n-18n30 (pôle Pharmacie).
Nous vous prions de nous excuser pour la gêne occasionnée.
Après Hippocrate et Médecin de campagne, Thomas Lilti, cinéaste et médecin, a de nouveau choisi l’univers de la médecine pour son quatrième long-métrage : Première année, qui sort en salle mercredi 12 septembre.
L’histoire
Antoine (Vincent Lacoste) et Benjamin (William Lebghil) entament la très difficile première année commune aux études de santé (PACES) pour devenir médecins. Le premier la triple, le second sort tout juste du lycée. Tous deux affrontent un univers très compétitif et s’interrogent sur leurs aspirations professionnelles et personnelles.
En écho à l’actualité
Le film de Thomas Lilti sort au moment où est remis en cause le principe même de la première année de médecine et le numérus clausus qui, depuis 1971, limite l’accès des étudiants en deuxième année afin d’encadrer le nombre de professionnels de santé en France.
Avec 60 000 étudiants inscrits en 2017, pour un taux de réussite avoisinant les 15%, la PACES est effet considérée comme un gâchis humain et un dispositif périmé, favorisant les bacheliers scientifiques et fondé sur une pédagogie qui conduit à un bachotage intense. Le gouvernement étudie actuellement plusieurs scénarios pour le recrutement des futurs médecins, sachant que des alternatives à la PACES sont déjà expérimentées dans certaines facultés.
Des scènes tournées à la BIU Santé
Bien qu’ouverte aux étudiants à partir de la troisième année en général (mais la fiction autorise tout !), la BIU Santé a servi de cadre à certaines scènes se déroulant en bibliothèque. Le cinéaste a su mettre en valeur la grande salle de lecture de notre pôle Médecine (voir photo ci-contre), ainsi que la deuxième salle de lecture, la salle Landouzy. Quant aux figurants, ce sont pour la plupart de véritables étudiants en médecine et même… deux bibliothécaires de la BIU Santé qui font ici leurs grands débuts au cinéma !
Notons que le Centre universitaire des Saints-Pères de l’université Paris Descartes, a également servi de cadre pour plusieurs scènes du film, donnant une authenticité aux aventures des deux protagonistes.
La critique aime
Le fait que le film de Thomas Lilti ait été tourné à la BIU Santé n’est pas la seule bonne raison d’aller découvrir Première année en salle. Comme dans ses précédentes fictions, le cinéaste fait à nouveau preuve d’une grande justesse pour évoquer les difficultés de son métier d’origine : les tourments de l’hôpital public (Hippocrate), le problème des déserts médicaux (Médecin de campagne), et ici le désarroi des étudiants confrontés à la violence de la sélection.
La critique fait un accueil très positif au film : « une fiction incisive sur notre époque et sur le culte de la compétition » selon Marianne, « une comédie d’apprentissage réaliste » pour Télérama, tandis que Le Figaro parle d’« une comédie à la fois divertissante et grinçante, doublée d’une réflexion sévère sur le système ».
Il est déjà temps de s’inscrire aux formations de la BIU Santé : le calendrier des séances du second semestre 2018 vient d’être en ligne sur le site la bibliothèque.
Au programme au pôle Médecine :
Des séances PubMedpour maîtriser la recherche sur Medline, la base de référence en santé
Une formation pour découvrir Embase, une base peu fréquente en bibliothèque mais incontournable, à interroger dans nos salles de lecture
Et bien sûr des formations à Zotero, le logiciel qui gère vos références bibliographiques en quelques clics et facilite la rédaction de vos thèses et mémoires
Au programme au pôle Pharmacie :
Des séances compactes mais complètes dédiées à PubMedpour vous aider à trouver les références dont vous avez besoin pour vos travaux universitaires
Des formations à Zoteropour gérer efficacement vos références bibliographiques : savoir les collecter à partir de différentes sources d’information, créer votre bibliographie, pour votre thèse, un mémoire, un article…
Les formations sont gratuites. Il n’est pas nécessaire d’être inscrit à la bibliothèque pour y participer.
Au pôle Médecine, elles s’adressent à tous les professionnels de santé et étudiants en médecine, odontologie et sciences paramédicales, à partir de la troisième année d’étude. Au pôle Pharmacie, elles s’adressent aux étudiants et aux enseignants en pharmacie.
L’inscription aux séances se fait directement en ligne pour les lecteurs déjà inscrits à la bibliothèque, et par courriel à l’adresse suivante pour ceux qui ne le sont pas encore.
À bientôt dans nos formations et bonnes vacances à tous !
Après le succès de l’édition 2017, la BIU Santé et l’Urfist de Paris proposeront les 20, 21 et 22 novembre 2018 une nouvelle édition du stage «Bibliothèque de santé, environnement et ressources documentaires (initiation)» à l’Université Paris Descartes.
Cette formation s’adresse prioritairement aux professionnels de l’information et de la documentation récemment affectés en bibliothèque de santé (universitaire et hospitalière notamment).
Elle a pour objectif de permettre aux nouveaux arrivants en bibliothèque de santé de maîtriser les outils et concepts indispensables pour exercer leurs fonctions : publics et cursus, contexte institutionnel, collections et services.
Avec la nouvelle grossesse de la duchesse de Cambridge, c’est LA nouvelle qui n’a pas pu vous échapper cet été : Zotero 5, la nouvelle version de Zotero est sortie !
Rappelons à ceux qui ne le connaissent pas encore que Zotero est un logiciel libre et gratuit qui vous permet de collecter des références depuis des catalogues et des bases de données et de créer en quelques clics des bibliographies formatées dans les règles de l’art. Zotero est ainsi l’outil indispensable à toute personne s’engageant dans la rédaction d’un mémoire, d’une thèse ou d’un article. Il se murmure même que certains le détournent de son utilisation académique pour gérer leurs recettes de cuisine ou leur dévédéthèque (mais chut ! nous tairons les noms).
Zotero 5 : les principales nouveautés
La principale nouveauté de la version 5 est l’abandon de la version « Zotero for Firefox », qui intégrait le logiciel dans le navigateur lui-même. Ainsi, tous les utilisateurs de Zotero, qu’ils travaillent avec Firefox, Chrome, Safari ou Opera, utilisent désormais Zotero dans une fenêtre distincte de celle du navigateur (« Zotero standalone » dans les précédentes versions).
Conseil : afin de naviguer aisément entre les deux fenêtres, celle du navigateur et celle de Zotero, pensez à épingler ce dernier dans la barre des tâches. Vous verrez que votre travail en sera grandement facilité !
Deux autres nouveautés de Zotero 5 méritent d’être signalées :
L’intégration dans Zotero d’un gestionnaire de flux RSS, qui ajoute au logiciel une précieuse fonction de veille à celles de collecte des références et de création de bibliographie.
L’apparition d’un dossier « Mes publications », qui permet de valoriser vos travaux sur votre profil zotero.org.
Zotero 5 à la BIU Santé
À la BIU Santé, l’ensemble des postes publics des salles de lecture, au pôle Médecine comme au pôle Pharmacie, sont désormais équipés de la version 5 de Zotero.
Il en est de même pour les postes des deux salles de formation. Dès les prochaines formations, prévues le 19 septembre, les bibliothécaires initieront les usagers à la nouvelle version de Zotero.
Nouvelle version, nouveau support
Les bibliothécaires de la BIU Santé ont travaillé d’arrache-pied tout l’été pour que le support de formation prenne en compte les nouvelles fonctionnalités de la version 5 de Zotero. Le fruit de leurs efforts est d’ores et déjà disponible sur le site de la BIU Santé.
Le support à jour intègre la nouvelle façon d’installer Zotero, ainsi que deux nouveaux chapitres dédiés à la gestion des flux RSS et au dossier « Mes publications« . Dans la mesure où le changement de version a suscité des modifications importantes, n’hésitez pas à nous faire part de vos remarques pour aider à l’améliorer en nous écrivant à formation@biusante.parisdescartes.fr.
Vous voulez en savoir plus ? Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire àune de nos formations gratuites. Des dates sont disponibles jusqu’à la fin de l’année 2017. Quant aux vidéos de la chaîne DocToBib, elles seront progressivement mises à jour.
La Bibliothèque interuniversitaire de Santé et l’URFIST de Paris proposent des stages en 2017-2018 à destination des collègues en poste en bibliothèque de santé (universitaire, hospitalière et autre établissement de documentation).
« Bibliothèque de santé : environnement et ressources documentaires (initiation) »
21, 22 et 23 novembre 2017
Une nouvelle édition du stage « Bibliothèque de santé : environnement et ressources documentaires (initiation) » se tiendra du 21 au 23 novembre 2017, à l’université Paris Descartes.
Cette formation s’adresse prioritairement aux professionnels de l’information et de la documentation récemment affectés en bibliothèque de santé (universitaire et hospitalière notamment).
Elle a pour objectif de permettre aux nouveaux arrivants en bibliothèque de santé de maîtriser les outils et concepts indispensables pour exercer leurs fonctions : publics et cursus, contexte institutionnel, collections et services.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 29 septembre, mais ne tardez pas à vous manifester.
ATTENTION : Ce stage ne propose pas de formation pratique à l’utilisation de bases de données. Une session sur ce thème sera organisée sur 2 jours en mars 2018 (voir ci-dessous).
« Recherche documentaire en médecine : outils et ressources »
15 et 16 mars 2018
Une nouvelle édition de ce stage de 2 jours dédié spécifiquement à la manipulation des principales bases de données en médecine (PubMed, Cochrane Library, BDSP, LiSSa, EM-Premium…) est d’ores et déjà programmée en mars 2018.
Les modalités d’inscription seront annoncées ultérieurement.
Pour tout utilisateur de la base PubMed – et de surcroît pour tout formateur – la lecture du NLM Technical Bulletin est une source d’information incontournable pour suivre les évolutions de la base. Deux billets récemment publiés annoncent des ajouts et modifications dans l’interface de PubMed. Ce billet fait le point sur les principales nouveautés.
Archives ouvertes
Dans le dernier numéro en date, on apprend que PubMed propose désormais une icône renvoyant vers le texte intégral de l’article lorsque celui-ci est disponible dans une archive ouverte institutionnelle, c’est-à-dire un réservoir d’articles en libre accès mis en place par une université ou un organisme de recherche, pour diffuser et valoriser les travaux de ses chercheurs (notamment).
Cette icône apparaît, lors de l’affichage d’une notice, en haut et à droite (dans l’exemple ci-dessous, Deep Blue, archive de l’université du Michigan), en complément des autres icônes déjà disponibles :
le lien vers le site de l’éditeur (accès payant à moins de passer par une bibliothèque ou une institution ayant souscrit à un abonnement – Elsevier dans l’exemple ci-dessus) ;
le résolveur de lien mis en place par une institution (ici l’université Paris Descartes) pour bénéficier des abonnements souscrits par celle-ci ;
le lien vers l’article lorsque celui-ci est disponible dans PubMed Central (PMC), une archive ouverte spécialisée en sciences de la vie et génie biomédical, créée par la NLM en complément de PubMed.
L’affichage de l’icône nécessite pour l’institution d’adhérer au service LinkOut du NCBI. Pour l’heure, seules quatre universités proposent un lien vers leur dépôt institutionnel, mais on peut supposer que d’autres institutions, et pourquoi pas françaises, vont prochainement proposer elles aussi cet accès.
Conflit d’intérêts
Dans le pénultième numéro du NLM Technical Bulletin, on apprend que PubMed signalera désormais les conflits d’intérêts des auteurs lorsque ceux-ci sont mentionnés dans les articles référencés. Une évolution compréhensible mais il faut préciser que PubMed ne fera que reprendre l’information indiquée par la revue. Si elle n’y apparaît pas, elle ne figurera pas dans la notice de PubMed.
Affichage des résultats
On apprend aussi que le choix du nombre de résultats affichés par page (20 par défaut), migré il y a quelques mois en bas de l’écran, retrouve sa place tout en haut, aux côtés des menus permettant de modifier le format des références et le mode de tri des résultats.
L’utilisateur régulier de PubMed est coutumier de ces menus changements dans l’interface. Le formateur, lui, s’en agace parce qu’il doit refaire les copies d’écran de son support !
Statut des références
Mais l’information la plus importante de cette avant-dernière livraison du NLM Technical Bulletin se trouve à la fin et concerne la mention du statut des références indexées dans PubMed. Pour comprendre la portée de ce changement, un petit rappel s’impose.
Le site Web PubMed est une interface permettant d’interroger gratuitement Medline, une base de données bibliographiques spécialisée dans le domaine de la santé, produite et alimentée par la NLM (National Library of Medicine des États-Unis). D’ailleurs PubMed est l’abréviation de Public Access to Medline et c’est par abus de langage que le nom PubMed sert à désigner la base elle-même.
En réalité, PubMed ne se limite pas à l’interrogation de Medline et donne aussi accès à d’autres référencesnon incluses dans Medline, et dont les principales sont :
des références d’articles issus des 5620 revues indexées dans Medline, venant de paraître et directement versées dans PubMed par les éditeurs, à la suite d’un accord entre ceux-ci et la NLM ;
des références en cours d’indexation avec les mots-clés MeSH par les bibliothécaires de la NLM ;
des références d’articles inclus dans PubMed Central (PMC) mais qui ne sont pas issus des 5620 revues retenues par la NLM pour figurer dans Medline.
Quelle différence y a-t-il entre les références d’articles de Medline et celles listées ci-dessus ? Elle est de taille puisque les premières sont indexées avec des termes MeSH, c’est-à-dire des mots-clés décrivant le contenu de l’article. Ceux-ci sont fort utiles à l’utilisateur pour cibler précisément sa recherche et ne pas crouler sous un nombre de résultats inexploitable, étant donné le nombre de références accessibles via PubMed : 27 millions !
Les autres références ainsi listées ne sont pas indexées avec des mots-clés MeSH :
soit elles ont vocation à l’être : c’est le cas des références versées par l’éditeur et en cours d’indexation, mais il existe un délai non négligeable entre la mise en ligne de la référence et l’indexation en MeSH de l’article ;
soit elles ne le seront en aucun cas pour ce qui est des références de PMC issues de revues non indexées dans Medline.
Ceci permet d’expliquer, d’une part, la différence entre PubMed et Medline, que l’on a trop souvent tendance à confondre, et d’autre part, la complexité de la recherche dans PubMed, puisqu’une recherche consciencieusement menée à l’aide du thésaurus MeSH ne suffit pas à récupérer l’ensemble des références pertinentes sur un sujet. Ce mode de recherche écarte en effet systématiquement les références non indexées en MeSH alors qu’il s’agit généralement des plus récentes sur le sujet.
En conséquence, une recherche exhaustive dans PubMed ne peut se contenter d’une recherche menée à partir du MeSH Database, fût-elle préparée avec les termes les plus adéquats. Elle doit nécessairement être complétée par une recherche en langage libre («à la Google») pour ne pas écarter des résultats récents et pertinents. L’équipe du CISMeF (du CHU de Rouen) a fait en sorte de corriger cette difficulté puisqu’une recherche lancée depuis l’outil terminologique HeTOP ou à partir du Constructeur de Requêtes Bibliographiques Médicales dans PubMed associera au terme MeSH l’ensemble des synonymes de celui-ci.
Mais revenons à l’information délivrée par le NLM Technical Bulletin :
Le statut des références évoqué ci-dessus était jusqu’il y a peu indiqué au-dessous de chaque notice. On retrouvait donc les mentions [PubMed – as supplied by publisher], [PubMed-in process] et [PubMed-indexed for Meline] pour désigner respectivement : les références versées par l’éditeur, celles en cours d’indexation et celles indexées avec des mots-clés MeSH (et faisant donc partie de Medline).
Désormais, seul le statut [indexed for Medline] est mentionné. Les autres statuts ne sont pas indiqués, à moins d’afficher la notice au format MEDLINE afin de visualiser le champ « STAT ».
On peut comprendre le choix de la NLM qui vise à simplifier l’affichagede PubMed et rendre plus simple son utilisation par une nouvelle génération d’usagers habitués aux interfaces Google like. On peut regretter pour des raisons de clarté – et plus encore de pédagogie – que cette information essentielle ne soit plus accessible dès l’affichage public des références.
Mais qui sait, la NLM reviendra peut-être sur ce choix et nous réserve sans doute encore quelques modifications à venir !
Au programme au pôle Médecine, de janvier à juillet :
Des séances PubMed 1, pour tout savoir sur le MeSH, et PubMed 2, pour aller plus loin et maîtriser la recherche en langage libre.
Une session consacrée à Embase, une base de données de référence, complémentaire de PubMed, rarement proposée par les bibliothèques, que vous pouvez interroger à la BIU Santé.
Une séance pour se familiariser avec le concept d’Evidence-based Medicine (EBM) et maîtriser la Cochrane Library, la plus populaire des bases EBM.
Et toujours des formations à Zotero, le logiciel libre et gratuit qui permet de gérer ses références bibliographiques efficacement et qui deviendra vite indispensable pour la rédaction de vos thèses, mémoires et articles.
Au programme au pôle Pharmacie :
Des séances compactes mais complètes dédiées à PubMedpour vous aider à trouver les références dont vous avez besoin pour vos travaux universitaires.
Des sessions consacrées à Embase, base de référence spécialisée en pharmacologie et en toxicologie, complémentaire de la base de données PuBMed (3000 revues indexées supplémentaires).
Des formations à Zoteropour gérer efficacement vos références bibliographiques : savoir les collecter à partir de différentes sources d’information, créer votre bibliographie, pour votre thèse, un mémoire, un article…
Les formations sont gratuites. Il n’est pas nécessaire d’être inscrit à la bibliothèque pour y participer.
Au pôle Médecine, elles s’adressent à tous les professionnels de santé et étudiants en médecine, odontologie et sciences paramédicales, à partir de la troisième année d’étude.
Au pôle Pharmacie, elles s’adressent aux étudiants et aux enseignants en pharmacie.
L’inscription aux séances se fait directement en ligne pour les lecteurs déjà inscrits à la bibliothèque, et par courrielà l’adresse suivante pour ceux qui ne le sont pas encore.
De nouvelles formations seront annoncées au cours de l’année sur ce blog : restez connectés et suivez-nous sur les réseaux sociaux pour être tenus au courant.
Nous espérons vous retrouver nombreux dans nos formations !