Elle donne accèsà l’ensemble des notices de référencement qui ont été collectées dans cette base depuis 1993 jusqu’en février 2019. Il s’agit ainsi d’environ 530 000 références produites par le réseau documentaire d’informations en santé publique BDSP pendant cette période.
Cette base couvre, pour cette période, une grande part de la littérature scientifique et technique française et étrangère en santé publique, sous diverses formes de documents : articles, ouvrages, thèses, mémoires, travaux académiques, rapports, actes de congrès et retours d’expérience. Un accès au texte intégral est proposé chaque fois que possible (pour environ 20% des références), sous la forme d’un PDF ou via un lien.
Le site de l’archive permet également de consulter et télécharger le Thésaurus santé publique dans sa 5e et dernière version (TSP 5), datant d’octobre 2018, et de l’utiliser pour interroger la base.
Un bouton « Contact » donne accès à une messagerie. Nous attirons l’attention sur le fait que seuls seront traités les messages signalant un problème technique rencontré lors de la consultation de l’archive de la base documentaire ou du Thesaurus Santé Publique, ou les retraits de référencements de documents à la demande de leurs auteurs.
Dans le même temps, un travail a été réalisé par les équipes de l’Inist-CNRS permettant d’exposer sur la plateforme Loterre le thésaurus de santé publique TSP, après sa conversion en format SKOS. Cette exposition, outre de rendre le TSP visible et disponible à l’interrogation, permet également des alignements avec d’autres ressources terminologiques (par exemple : le MeSH, thésaurus des pathologies). Le lien vers le TSP sur Loterre : https://www.loterre.fr/skosmos/TSP/fr/.
Peut-être certains d’entre vous ont-ils vu passer l’information sur les réseaux sociaux relative à l’annonce de la fermeture de la Banque de données en santé publique (BDSP).
D’importants besoins de financement ont émergé, notamment pour faire face à l’obsolescence du portail de la BDSP. Un projet de refonte du site et des services de la BDSP a alors vu le jour sous le nom de BDSP+.
Au cours des deux dernières années, l’EHESP et la BDSP ont multiplié démarches et montage de dossiers pour obtenir les investissements nécessaires à la poursuite de l’activité de la Banque de données. Sans succès, malheureusement, malgré l’intérêt et l’utilité de la BDSP.
La BIU Santé s’est associée à cette mobilisation, la BDSP constituant un outil essentiel pour beaucoup de ses lecteurs étudiants et professionnels de santé.
Depuis 2004, elle contribuait d’ailleurs à l’alimentation de cette base par le signalement des thèses de médecine et de chirurgie dentaire de santé publique (11500 thèses au 30 novembre 2018).
La BDSP est une ressource utile à plusieurs titres :
Elle indexe beaucoup de documents en français, pratique pour ceux qui ne sont pas à l’aise avec l’anglais
Ses ressources en santé publique présentent de l’intérêt pour les médecins généralistes, les sages-femmes, les soins infirmiers…
Les sujets qu’elle recouvre ne sont pas uniquement cliniques (comme PubMed) : relation soignant-soigné, réticence vis-à-vis de la vaccination…
Les contributeurs de la BDSP sont essentiellement des documentalistes dans des organismes qui ne participent pas au réseau Sudoc. Ces organismes publics (ou assimilés) produisent beaucoup de littérature grise qui est signalée à la BDSP. Demain, ces infos ne seront plus centralisées.
Une fermeture en juillet 2019
Sur son site, la BDSP annonce la fermeture du portail le 1er juillet prochain et indique que «pendant une période de transition de six mois, du 1er janvier au 30 juin 2019, le site et ses services resteront accessibles mais ne seront plus alimentés, ni mis à jour.
Plus précisément, concernant le service ‘Offres d’emploi’, les dernières annonces seront publiées le 20 décembre 2018 (saisie jusqu’au 18 décembre à 18h).
Concernant le service ‘Annonces de colloques’, les dernières annonces ont été publiées le 30 novembre 2018.»
La BDSP s’engage à «[informer] régulièrement [ses utilisateurs] sur le devenir des services (archivage ouvert, reprise, arrêt) et [proposera] des réorientations vers des services similaires »
Si votre organisation souhaite manifester son soutien à la BDSP, elle peut rejoindre la liste des organisations signataires en envoyant un mail à flore.lecomte@sfsp.fr.
La BIU Santé a récemment accueilli dans ses collections un fonds d’archives retraçant le parcours professionnel, politique et familial de Joseph III Flandrin (1837-1903), pharmacien originaire de Grenoble. Cet ensemble d’archives a été donné à la bibliothèque par l’un de ses descendants, Georges Flandrin, médecin et hématologue ayant effectué sa carrière aux hôpitaux Saint-Louis et Necker à Paris. Il documente plus particulièrement la période étudiante de la vie de Joseph Flandrin et la correspondance que celui-ci entretenait avec son père, percepteur et botaniste.
Joseph Flandrin appartient à une famille grenobloise composée d’artistes et de médecins. Il s’oriente vers des études de pharmacie qu’il effectue à l’École supérieure de pharmacie de Paris de 1860 à 1864, Il effectue son internat à l’hôpital Lariboisière puis à l’Hôtel-Dieu, avant de retourner dans sa région d’origine pour exercer en officine. A partir des années 1870, il s’engage dans plusieurs sociétés de secours mutuel et participe à diverses commissions municipales portant notamment sur des questions de santé publique, telles que le travail des enfants.
Le fonds d’archives se compose majoritairement de lettres échangées entre Joseph et son père durant ses années d’études à Paris de 1861 à 1864. La fréquence et le contenu de ces lettres témoignent de l’étroite relation qui existait entre les deux correspondants. Les fondements de cette relation sont non seulement familiaux mais également intellectuels et économiques : Joseph est dépendant financièrement de sa famille. S’il reçoit plus de lettres de son père qu’il ne lui en envoie, il se montre néanmoins fort loquace dans ses écrits : il aborde le contenu académique de sa formation, les multiples événements qui ponctuent sa scolarité, comme par exemple la visite d’une délégation étrangère. Il n’omet pas non plus des questions plus triviales, telles que l’argent dont il a besoin pour faire retoucher son costume. Ses lettres fourmillent de détails et anecdotes et constitue ainsi une véritable chronique de la vie d’un étudiant parisien au milieu du XIXe siècle.
Les correspondants de Joseph Flandrin se diversifient avec le temps. Il commence ainsi à échanger à partir de 1863 avec Adèle Ricard, mère de sa future épouse et fille d’un pharmacien d’officine à Grenoble. Le fonds d’archives documente également ses jeunes années au collège du Pont de Beauvoisin puis au lycée de Grenoble, ainsi que la période plus tardive de sa vie, évoquant ses multiples engagements politiques et scientifiques. Une photographiedes internes en pharmacie de l’hôpital Lariboisière en 1863 ainsi qu’un autoportrait au fusain complètent et illustrent ces archives familiales.
Le fonds Georges Flandrin est actuellement en cours d’inventaire et de numérisation à la BIU Santé. Un mémoire d’étude en histoire de la pharmacie exploitant ces sources inédites est également en cours de rédaction. Pour toute question relative aux conditions d’accès à ce fonds, vous pouvez écrire à info-hist@biusante.parisdescartes.fr.
Nous profitons de cette publication pour remercier à nouveau Monsieur Georges Flandrin ainsi que son épouse pour leur don à la BIU Santé, pour l’accueil qu’ils nous ont réservé et pour toutes les informations relatives à l’histoire de leur famille et de leur collection qu’ils nous ont communiquées.
Le 7 avril 2018 est célébrée la journée mondiale de la santé. À cette occasion l’Organisation mondiale de la santé développe un slogan, «La Santé pour tous» et un thème, «Couverture santé universelle : pour tous et partout» qui correspondent à sa vison directrice et fonde une ambition.
Que toute personne, partout dans le monde, ait accès aux soins qui lui sont nécessaires. Et pour ce faire, que tous les dirigeants soient amenés à orienter leur politique en la matière vers la couverture santé universelle, selon les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies.
Quels en sont les principes ?
En 2010, l’OMS définissait lesresponsabilités et devoirs – nationaux, de chaque État vis-à-vis de sa population – mondiaux, des pays à revenu élevé vis-à-vis des pays à revenu faible ou moyen.
Il fallait donc préalablement déterminer quels étaient les biens et services essentiels en matière de santé que chaque personne est en droit d’attendre. Il ne s’agit bien sûr pas de prendre en charge toutes les interventions de santé quelles qu’elles soient, mais de garantir un socle minimal pour tout individu, tout autant que d’entreprendre des campagnes de santé publique pour des populations entières.
Approches transversales de l’aide à la santé
Reconnaître le rôle central des déterminants sociaux de la santé doit conduire à favoriser des approches transversales.
«La conduite en parallèle de plusieurs programmes (extension de la couverture maladie, gratuité de certains soins, etc.) ne constitue nullement une politique de santé globale et ne prend pas en compte les interactions systémiques entre les politiques de santé et les «causes des causes» : éducation, conditions de vie, …»
Les faits
En réalité, en 2018, au moins la moitié de la population mondiale n’a pas accès aux services de santé essentiels. Près de 100 millions de personnes sombrent dans la grande pauvreté, due aux frais de santé qu’elles doivent assumer. Les «dépenses catastrophiques» pour soins de santé concernent plus de 800 millions de personnes (12% de la population mondiale) et constituent un problème mondial.
En France, de la CMU (entrée en vigueur en 2000) à la PUMa, Protection Universelle Maladie, qui l’a remplacée en 2016, toute personne travaillant ou résidant en France de manière stable et régulière, a droit à la prise en charge de ses frais de santé à titre personnel et de manière continue tout au long de sa vie.
La consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), en France, représente 8,9% du PIB en 2016 et est financée à 77% par la Sécurité Sociale. La part du reste à charge des ménages s’établit à environ 10% de leur budget, comme dans les autres pays riches d’Europe, d’Amérique latine et de certaines régions d’Asie qui ont atteint des niveaux élevés d’accès aux services de santé.
Toutefois, pour certaines dépenses de santé directes, la part individuelle est beaucoup plus élevée et peut parfois conduire à des phénomènes de renoncement aux soins. C’est le cas notamment pour les soins dentaires, les équipements d’optique médicale et les audioprothèses. La stratégie nationale pour 2018-2022, vise à contribuer à la lutte contre les inégalités.
Il n’en demeure pas moins que l’accès universel aux soins, en Europe, se détériore, les mesures de restrictions budgétaires des États, en particulier en matière de santé, impactant les populations vulnérables.
Association Mieux Prescrire. Paris. (2017). Aides pour la complémentaire santé : efficaces mais incomplètes. REVUE PRESCRIRE, 37 (409), 868‑869.
Breton, E., Jabot, F., Pommier, J., Sherlaw, W., Bourdillon, F., Chambaud, L., & Lamarre, M.-C. (2017). La promotion de la santé : comprendre pour agir dans le monde francophone. Rennes : Presses de l’École des hautes études en santé publique.
Fleuret, S. (2017). Construction locale de la santé : études de cas internationaux et réflexions sur la situation française. Paris: Éditions Matériologiques.
Fonds de Financement de la Protection Complémentaire de la Couverture Universelle du Risque Maladie. Paris. (2017). Rapport d’activité 2016 du Fonds de financement de la protection complémentaire de la couverture universelle du risque maladie. (p. 127p.). Paris : Fonds CMU.
Jacquot, S. (2000). La couverture maladie universelle. Paris: Éd. ASH.
Médecins du Monde Mission France. (M.D.M.). Observatoire de l’Accès aux Soins. (O.A.S.). Paris. FRA. (2017). Synthèse du rapport de l’Observatoire 2017. Les laissés pour compte : l’échec de la couverture santé universelle en Europe. (136 p.). Paris : Médecins du Monde.
Monconduit, M. (2016). Le système de santé français, espoirs et réalités. Études, Juillet–Août(7), 43‑56.
Organisation mondiale de la santé (Éd.). (2013). La recherche pour la couverture sanitaire universelle. Genève: Organisation mondiale de la santé.
Organisation mondiale de la santé, & Groupe de la Banque mondiale (Éd.). (2015). Tracking universal health coverage: first global monitoring report. Geneva: World Health Organization.
SA, S. (2017). Le régime de la protection universelle maladie. TRAVAIL SOCIAL ACTUALITES, (84), 40‑41.
TABUTEAU, D. (2015). La protection universelle maladie (PUMA) : une transfiguration législative de l’assurance maladie (1ère partie). REVUE DE DROIT SANITAIRE ET SOCIAL, (6), 1058‑1072.
Infirmières, infirmiers, nutritionnistes, orthophonistes, professionnels paramédicaux, la base de données CINAHL (Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literature), vous attend à la Bibliothèque interuniversitaire de Santé.
CINAHL, c’est quoi ?
C’est l’outil de recherche documentaire indispensable pour les infirmières et les professionnels paramédicaux, mais il s’adresse aussi particulièrement aux sages-femmes et aux médecins généralistes. Vous y trouverez toute la documentation que vous cherchez en soins infirmiers, sciences biomédicales, sciences de la santé, médecine alternative et en santé publique.
Bon à savoir : les recherches s’y effectuent en anglais.
Quelle version proposons-nous ?
La base de données CINAHL propose plusieurs formules d’abonnement. La BIU Santé met à la disposition de ses lecteurs la versionCINAHL Complete qui permet l’accès à 5400 revues dont 1450 avec texte intégral. Vous y trouverez aussi des livres, des mémoires, des normes et pratiques cliniques sans oublier les fiches de soins fondées sur des données probantes (EBN), les leçons rapides et plus encore.
Comment y accéder ?
Rendez-vous sur la page «Articles et bases de données» de la BIU Santé, puis sélectionner CINAHL Complete. Étudiants et professionnels de santé, vous êtes tous les bienvenus sur place pour consulter cette ressource, horaires d’ouverture et autres informations pratiques disponibles ici. En revanche, l’accès distant aux bases de données est réservé aux seuls membres de l’université Paris Descartes (étudiants et personnels), il s’agit de clauses contractuelles négociées avec les éditeurs de ces outils, auxquelles nous ne pouvons déroger.
Comment interroger efficacement cette base de données ?
La recherche avancée est recommandée, elle permet de combiner des mots sujets ou des descripteurs du thésaurus CINAHL.
Le thésaurus CINAHL utilise beaucoup de descripteurs MeSH(Medical Subject Headings), qui est le thésaurus utilisé pour interroger Medline via PubMed, mais il comprend aussi certains mots-clés plus spécifiques, adaptés aux soins infirmiers et aux sciences paramédicales.
Vous ne savez pas comment faire ? On vous explique tout dans le tutoriel rédigé par les bibliothécaires de la BIU Santé. Rien ne vous échappera ainsi pour utiliser au mieux cette ressource faite pour vous !
Pourquoi interroger CINAHL et ne pas se contenter de PubMed ?
CINAHL est spécialisée dans le domaine des soins infirmiers et donne accès à 1300 titres de périodiques en texte intégral alors que PubMed ne propose que 766 titres dans le sous-ensemble des sciences infirmières. De nombreuses revues disponibles dans CINAHL ne sont donc pas dépouillées dans Medline et introuvables ailleurs.
Un exemple : lançons une recherche sur les relations infirmier-patient dans le cadre de la maladie d’Alzheimer : on obtient 121 articles dans PubMed et 42 dans CINAHL avec seulement 6 références communes ! Les deux bases de données sont donc bien complémentaires.
Les bibliothèques du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) ont réalisé un comparatif de contenu visible ici.
Les bibliothécaires de la BIU Santé (pôle Médecine) sont à votre disposition pour vous aider dans vos recherches documentaires, sur place ou à distance, n’hésitez-pas ! D’autant que de nombreux autres ressources vous sont destinées, comme l’«univers infirmier» de l’encyclopédie médico-chirurgicale en ligne, EM premium, etc.
La maladie de Lyme, ou borréliose de Lyme(1), maladie émergente notamment en Europe et dans l’est et l’ouest des États-Unis, a atteint, selon le réseau Sentinelles, 33 000 personnes en France en 2015.
Transmise à l’occasion d’une piqûre de tique infectée par une bactérie de la famille des spirochètes, multi-viscérale et multi-systémique, la maladie de Lyme pourrait bien être reconnue comme une maladie chronique : elle peut évoluer sur plusieurs années ou décennies, tout en étant parfois asymptomatique dans ses débuts, et conduire à de graves handicaps physiques ou mentaux.
Le centre de la France et l’Alsace, régions forestières et de randonnées, sont particulièrement touchées. Aussi, l’université de Strasbourg est-elle en pointe quant à la recherche au plan national. C’est là que se trouve le Centre National de Référence (CNR) de la borréliose, sur laquelle travaillent plusieurs équipes de chercheurs.
Annoncé fin septembre 2016, le ministère de la Santé a lancé un plan de lutte par étapes, face à la médiatisation de la maladie, qui traduit le besoin croissant de reconnaissance et de prise en charge des malades, relayé par le combat des associations.
Le 19 janvier 2017, le gouvernement organisait le premier «comité de pilotage du plan de lutte contre la maladie de Lyme», qui établit le bilan des travaux engagés depuis septembre 2016.
Les quinze mesures annoncées pour mieux prendre en charge la maladie, aboutiront, en juillet 2017, à une révision du protocole officiel de diagnostic et de soin sous l’égide de la Haute Autorité de Santé.
Préalablement, un groupe de travail se réunira en mars 2017 autour de la Direction Générale de la Santé, avec des spécialistes de toutes les disciplines concernées par la maladie (neurologie, dermatologie, rhumatologie, cardiologie, microbiologie, immunologie…) et des représentants des associations.
Les points à débattre : le test de diagnostic, reconnu comme peu fiable, la durée de la cure d’antibiotiques, jusqu’à présent systématiquement limitée à trois semaines, une reconnaissance de la maladie sous sa forme chronique.
Le public sera alors informé, par la diffusion d’un dépliant, sur les risques encourus, l’un des pics de contamination se situant au printemps.
Ces consultations offrent aux patients un diagnostic établi par différents spécialistes, coordonnés par un médecin traitant, afin d’éviter l’errance des malades, de systématiser le diagnostic et d’assurer une prise en charge dans la bonne filière de soins.
(1) Christmann D. Borréliose de Lyme : traité de médecine. Maladies infectieuses [Internet]. 18 déc 2015 [cité 18 janv 2017];(8-037-NaN-10). Disponible sur EM Premium (l’encyclopédie médico chirurgicale en ligne) à la BIU Santé.
Pour aller plus loin, nous vous proposons, ordonnée de façon thématique, une sélection de documents, disponibles à la BIU Santé, pôles Médecine ou Pharmacie ou directement accessible gratuitement en ligne.
Aly R, Maibach HI. Atlas of infections of the skin [Internet]. New York: Churchill Livingstone; 1999. Disponible à la BIU Santé (Médecine) sous la cote 265278
Girardin-Andréani C. Le syndrome de Lyme : le comprendre pour le vaincre une approche et des réponses nouvelles à cette maladie émergente et pandémique [Internet]. Paris: Dauphin; 2015. Disponible à la BIU Santé (Médecine) sous la cote WC 406 GIR
Klopfenstein T. Suspicion de maladie de Lyme : parcours de soins et rôle de l’infectiologie. Besançon; 2016. Disponible à la BIU Santé (Médecine) sous la cote de Thèse : 2016 • BESANCON • 73
Meha C. Forêt et risque de santé publique: le cas de la borréliose de Lyme. Application à la forêt périurbaine de Sénart (Île-de-France) [Internet] [Thèse de doctorat]. [Paris]: Université Paris-Sorbonne; 2013. Disponible sur: http://www.theses.fr/2013PA040125/document
Perret V. La maladie de Lyme en médecine générale : revue narrative de la littérature. Saint-Etienne; 2016. Disponible à la BIU Santé (Médecine) sous la cote de Thèse : 2016 STET 6208
Peyratout C, Pinel C. Le point sur une zoonose émergente: la maladie de Lyme et implication du pharmacien d’officine dans la stratégie de communication préventive [Internet] [Pharmacie]. [Grenoble, France]: Université Joseph Fourier; 2015. Disponible sur: http://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01170928
Bernard Q. Analyse cellulaire et moléculaire de la transmission précoce de la borréliose de Lyme: rôle de l’interface cutanée [Internet] [Thèse de doctorat]. [Strasbourg]: Université de Strasbourg; 2016. Disponible sur: http://www.theses.fr/2015STRAJ038/document
Boeuf A. Développement d’approches protéomiques pour l’étude des interactions tique-Borrelia-peau [Internet] [Thèse de doctorat]. [Strasbourg]: Université de Strasbourg; 2014. Disponible sur: http://www.theses.fr/2013STRAF019/document
Massart C. Les processus d’écologisation entre santé et environnement: le cas de la maladie de Lyme [Internet] [Thèse de doctorat]. Université de Grenoble; 2013. Disponible sur: http://www.theses.fr/2013GRENH012/document
Témoignages et associations
Témoignages
Albertat J. Lyme, les solutions naturelles [Internet]. Vergèze: Thierry Souccar éditions; 2016. (Nature et vitamines). Disponible à la BIU Santé (Pharmacie) sous la cote 216942
Albertat J, Horowitz RI. Maladie de Lyme : mon parcours pour retrouver la santé [Internet]. Vergèze: T. Souccar; 2012. Disponible à la BIU Santé (Pharmacie) sous la cote 216941
Foucaut M. Maladie de Lyme : l’épidémie silencieuse un combat pour nos vies [Internet]. Paris: Josette Lyon; 2015. Disponible à la BIU Santé (Médecine) sous la cote 274532
Revil Signorat A, Gonnet F. Vécu et représentations de la maladie des patients pensant être atteints de la maladie de Lyme [Internet]. Université Grenoble I; 2014 [cité 20 janv 2017]. Disponible sur: https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01024761
Schaller V, Horowitz RI. Maladie de Lyme : l’épidémie qu’on vous cache [Internet]. Vergèze: Thierry Souccar; 2015. Disponible à la BIU Santé (Médecine) sous la cote 199511 (Pharmacie) sous la cote 216402
Associations
FFMVT – Fédération Française contre les Maladies Vectorielles à Tiques | FFMVT site public | ACCUEIL | [Internet]. [cité 3 févr 2017]. Disponible sur: http://ffmvt.org/
France Lyme : Association de lutte contre les maladies vectorielles à tiques [Internet]. France Lyme : Association France Lyme. [cité 3 févr 2017]. Disponible sur: http://francelyme.fr
LYM’P.A.C.T. | Association de Prévention et d’Action Contre les Tiques et la maladie de Lyme [Internet]. [cité 3 févr 2017]. Disponible sur: https://www.lympact.fr/
ILADS – End Lyme disease epidemic through education, awareness & physican training. [Internet]. [cité 3 févr 2017]. Disponible sur: http://www.ilads.org/
sur le thème «Les politiques de Santé publique à l’ARS en IDF en 2017».
Conférence prononcée par Christophe DEVYS, directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France.
La conférence aura lieu dans l’amphithéâtre Frézal (15, rue de l’École-de-Médecine, site des Cordeliers, 2e étage) de 18h à 20h30. Elle sera filmée puis mise en ligne à l’adresse suivante.
L’accès à ces rencontres est libre et ne nécessite pas d’inscription.
Retrouvez le programme 2016-2017 et les vidéos des sessions précédentes en cliquant sur ce lien.
sur le thème «Les politiques de santé publique à l’ARS en IDF en 2017».
Conférence prononcée par Christophe DEVYS, directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France.
La conférence aura lieu dans l’amphithéâtre Frézal (15, rue de l’École-de-Médecine, site des Cordeliers, 2e étage) de 18h à 20h30. Elle sera filmée puis mise en ligne à l’adresse suivante.
L’accès à ces rencontres est libre et ne nécessite pas d’inscription.
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Un colloque sur le thème «Quelle place pour les maltraitances faites aux enfants dans la stratégie nationale de santé ?» est organisé le 7 juillet 2016 au centre universitaire des Saints-Pères à Paris.
«À la suite du colloque des 30 septembre et 1e décembre 2014 qui associait université et associations pour des propositions effectives contre la maltraitance à enfant, les partenaires se retrouvent pour promouvoir la mise en place d’un plan de prévention de la maltraitance.
Le Professeur Vincent Felitti fondateur de l’ACE-Study (sous réserve) préside ce colloque. L’ACE permet une prise de conscience de l’importance des conséquences médicales à long terme des violences subies dans l’enfance pour mettre en place des stratégies de prévention. Ces stratégies nécessitent la mobilisation de tous les acteurs de la société dans tous les domaines : santé, police, éducation, social… L’OMS propose son soutien pour la mise en place de l’ACE dans un État. Le ministère de la Santé s’associe à cette initiative qui débouchera sur une ACE-Study en France.»
Inscriptions / Renseignements scientifiques :
Laboratoire d’Éthique Médicale et de Médecine Légale
Tél. : +331 42 86 41 32 ou 33 35
Email : christian.herve@parisdescartes.fr
sur le thème « Quelle politique de santé publique pour les addictions ? »
Conférence prononcée par William LOWENSTEIN, interniste et addictologue, président de SOS Addictions, avec la participation de Jean-Pierre COUTERON, fédération Addictions.
La conférence aura lieu dans l’amphithéâtre Frézal (15, rue de l’École-de-Médecine, site des Cordeliers, 2e étage) de 18h à 20h30. Elle sera filmée puis mise en ligne à l’adresse suivante.
L’accès à ces rencontres est libre et ne nécessite pas d’inscription.
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