Le Moniteur de l’internat accessible en ligne et à distance !

Le Moniteur de l’Internat, 4e édition de 2013, est disponible en ligne depuis aujourd’hui pour l’ensemble de la communauté universitaire de Paris Descartes. L’accès est possible sur place ou à distance. Les quatre tomes sont signalés dans notre catalogue et dans la rubrique livres électroniques.

– Tome 1 Toxicologie Sciences mathématiques, physiques et chimiques (Accès Paris Descartes)

– Tome 2 Biochimie Hématologie (Accès Paris Descartes)

– Tome 3 Infectiologie (Accès Paris Descartes)

– Tome 4 Médicaments (Accès Paris Descartes)

Cette somme considérable, en 4 volumes et plus de 4.400 pages, passe en revue les connaissances essentielles pour l’ensemble des disciplines de la biologie médicale et de la pharmacie. C’est l’ouvrage indispensable pour tous les étudiants qui préparent le concours de l’internat en pharmacie, dont il couvre tout le vaste programme (voir aussi ce lien des CNCI pour des informations plus précises). Mais c’est aussi devenu un outil de référence et de formation continue pour les pharmaciens et les biologistes.

Sous la direction du Dr Michel Vaubourdolle, biologiste des hôpitaux (Paris, AP-HP, CHU Saint-Antoine), et d’un comité éditorial de six spécialistes, plus de 230 universitaires et praticiens de toutes les régions de France ont mis en commun leurs efforts pour livrer ce panorama complet en 206 chapitres denses, accompagnés chacun d’une bibliographie.

L’ouvrage est préfacé par le Pr Dominique Porquet, doyen de la faculté de pharmacie de Paris 11-Châtenay-Malabry (qui fournit un contingent notable d’auteurs) et président de la conférence des Doyens des facultés de pharmacie de France.

Les étudiants en pharmacie (et en médecine) de l’université Paris Descartes retrouveront aussi, parmi les auteurs, plusieurs noms qui leur sont familiers, enseignants-chercheurs de l’UFR des Sciences pharmaceutiques et biologiques, notamment, et de ses laboratoires : E. Bourgogne, J.-M. Warnet, P. Lefebvre, M.-C. Menet, É. Pasmant, B. Parfait, D. Vidaud, M. Vidaud, L. Cynober, J.-P. de Bandt, Ch. Aussel, J.-L. Beaudeux, P. Gaussem, M. Aiach, V. Siguret, N. Kapel, S. Houze, J.-C. Chaumeil.

L’édition papier est toujours disponible au Bureau de renseignements du pôle Pharmacie en 4 exemplaires, dont 3 sont empruntables (voir notre billet d’octobre 2013).

Didier Partouche, Alain Delaforge et Jeremy Schreiber

[print_gllr id=6607]

Contraintes budgétaires et désabonnements 2014

[Billet original publié le 7 janvier 2014]

En raison des restrictions budgétaires 2014, nous sommes contraints d’interrompre un grand nombre d’abonnements (ressources électroniques et imprimées).

Certains droits réservés capl@washjeff.edu

Vous trouverez dans les fichiers ci-dessous la liste des accès concernés :

Toutes les ressources concernées, électroniques et imprimées (PDF, 175 Ko) ;

Revues imprimées concernées  (PDF, 500 Ko).

Certains accès ont déjà été interrompus (par ex. Conf+, que nous aurions dû prolonger en 2014), les autres devraient l’être progressivement dans les semaines qui viennent.

Grâce à la générosité de certains éditeurs, certaines ressources ont pu être maintenues, sous forme papier ou électronique (cliquez ici pour le détail des accès concernés).

En cas de besoin nous vous proposons, à titre provisoire, la solution du Prêt Entre Bibliothèques (PEB / cliquez sur ce lien).

Nous sommes désolés de ne plus pouvoir assurer un service adapté à vos besoins.

Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter.

Vous pouvez aussi nous faire part de vos réactions ou poser vos questions dans les commentaires ci-dessous.

[Mise à jour par Guy Cobolet, directeur de la BIU Santé]

Le 15 janvier 2014,

Pour répondre à certains des commentaires postés sur ce blog, je puis apporter les éléments d’information suivants :

1. les difficultés résultent de plusieurs facteurs, qui se combinent :

* un problème structurel, lié au modèle économique de l’information électronique adopté par les éditeurs à la fin des années 90. Modèle fondé depuis toujours sur le chiffre d’affaires papier. Notre bibliothèque, très ancienne, possédant la collection de revues la plus importante de toutes les universités françaises, paie donc les ressources électroniques deux ou trois fois plus cher que la plupart des établissements comparables.

* par ailleurs, étant CADIST, la bibliothèque doit (c’est l’une de ses missions nationales parmi d’autres) continuer d’acquérir des revues imprimées, les diffuser et les conserver, de manière à ce que les autres établissements soient exemptés de cette tâche et qu’il existe, dans le pays, une collection de référence et de sauvegarde.

* comme vous le savez, l’inflation annuelle du coût de la littérature scientifique varie entre 5 et 15% selon les titres, les disciplines, les pays de publication. Avec un budget stagnant depuis des années et en diminution depuis 2013 (-5%), il est bien évident qu’un jour le système ne fonctionne plus.

De 2007 à 2013, nous avions, pour maintenir l’essentiel, dû résilier 650 abonnements à des revues, et avons donc supprimé les titres les moins importants, les moins consultés.

Aujourd’hui, vu les contraintes budgétaires, c’est le cœur de la collection qui est atteint, car il constitue la seule variable d’ajustement possible qui reste (pour préserver l’offre documentaire, tous les autres postes budgétaires ont été déjà rognés dans le passé : informatique, matériels, papier photocopie, travaux, déplacements, fournitures…).

Dans ce cœur de collection, figurent des titres que la bibliothèque possédait depuis le n°1 du 19e siècle : Jama (1883), New England Journal of Medicine (1928), PNAS (1915), Nature (1869), l’Année psychologique (1895) et des centaines d’autres. Des titres complets depuis leur origine, qui constituent un patrimoine scientifique unique en France.

* enfin, pour le budget primitif 2014, l’ Université Paris Descartes fait face à des contraintes budgétaires très fortes et doit faire 22 M€ d’économies. Le budget primitif de la BIU a été réduit de 800.000€, celui du Service commun de la documentation de 500.000€, et c’est donc 1,3 M€ de ressources qu’il fallait supprimer au 1er janvier 2014 (24% du budget demandé, qui reconduisait le budget 2013).

2. Les critères de suppression :

* ont dû être conservés des bouquets de titres pour lesquels on s’était engagé dans le cadre de contrats pluri-annuels : Springer, Elsevier, CAS-ACS pour un total de 1,47 M€. Les deux revues mineures citées par M. Warlin font partie de ces bouquets.

* le solde disponible (70.000€, une fois pourvus tous les autres postes budgétaires incompressibles) a ensuite été consacré à l’acquisition de quelques ressources (revues et bases de données) dans les domaines couverts par la bibliothèque (médecine, pharmacie et odontologie en priorité, mais aussi psychologie, soins infirmiers et paramédical), en conservant aussi quelques ressources pour les étudiants, qui seront les chercheurs ou les praticiens de demain. Et l’on a tenté de préserver un certain niveau d’achat d’ouvrages.

3. À la lumière de ces faits qui, espérons-le, ne sont pas irréversibles et peuvent être amendés, la vraie question que l’on peut se poser, me semble-t-il, est la suivante :

Quelle est la place de l’information scientifique, de la documentation et des bibliothèques dans l’université, ici comme ailleurs ? Relèvent-elles du potentiel de recherche, et/ou du potentiel pédagogique, ou d’autres secteurs plus ou moins nécessaires ?

Des réponses apportées à ces questions découlent les financements.

Guy Cobolet, directeur

[Mise à jour par Guy Cobolet, directeur de la BIU Santé]

[Voir ci-dessus pour le billet original sur les désabonnements en cours]

Le 30 janvier 2014,

Quelques autres éléments d’information :

À la suite des messages reçus et publiés sur ce blog depuis le 15 janvier [voir ci-dessous], il me semble nécessaire d’apporter des précisions complémentaires sur les points suivants :

1. L’Open Access : tout le monde en parle, et la question a été abordée sur le blog de la bibliothèque.

Nous en avons présenté très rapidement l’économie générale, en effleurant la question des coûts, qui pourtant est bien réelle, car l’édition a un coût.
La formule Gold, où le chercheur paie pour être publié (1.000, 2.000, 3.000 euros l’article) et qui se développe à grands pas depuis quelque temps, mérite d’être étudiée sérieusement.
Vous l’avez compris : aujourd’hui, une revue est financée par deux sources principales : les abonnements annuels (souscrits par les particuliers et surtout par les institutions, notamment les bibliothèques) et les chercheurs/laboratoires.

Pour appréhender ce que représente en totalité le poste budgétaire de la documentation et de l’information scientifique, il me semble utile et nécessaire que l’université connaisse toutes les dépenses des uns et des autres, si elle veut se doter d’une politique efficiente en la matière. Avec le Gold Open Access, des transferts de charges (ou des additions de charges ?) sont en cours, mais personne ne connaît exactement le total des sommes consacrées à l’acte de publication. C’est bien dommage, et il est temps de se doter des outils indispensables et pertinents pour mesurer la chose.

2. Le temps est aussi venu, je crois, de revoir la politique d’achat qui prévaut en France (et ailleurs) depuis 15 ans, celle des « big deals », où l’on achète des bouquets de titres (en général tous les titres électroniques d’un éditeur, vendus en bloc), quel que soit leur contenu, au motif (avéré, mais uniquement fondé sur des pratiques commerciales discutables) qu’un big deal est moins coûteux que l’achat sélectif des quelques titres pertinents qui correspondent aux recherches et formations dispensées dans l’institution.
Un exemple, pris parmi d’autres : à Paris Descartes (comme partout ailleurs), nous sommes abonnés au bouquet Science Direct d’Elsevier, qui donne accès à 2.000 revues.

Voici les statistiques d’usage de ce portefeuille dans notre université :

  • 96 revues font l’objet de 50% de toutes les consultations ;
  • 264 revues font l’objet de 75% de toutes les consultations ;
  • 519 revues font l’objet de 90% de toutes les consultations.

Et je pourrais multiplier les exemples…
Faut-il continuer ainsi ? Stop ou encore ?

3. Je crois, pour en finir, que la seule solution n’est pas la révolution, mais ne pourra procéder que d’un partage d’idées, d’un vrai débat dans la communauté académique et d’une action conjuguée entre tous les acteurs concernés au sein des universités et de la nôtre, qui tous jouent un rôle déterminant en la matière : les chercheurs qui publient et/ou participent aux comités de lecture, les bibliothécaires qui gèrent les acquisitions et les accès, en fonction d’une politique à long terme, les usagers qui ont des besoins et leur mot à dire, et les décideurs qui doivent définir une politique fondée sur des bases solides, justifiées, adaptées et pertinentes.

Lisez le message du directeur général des bibliothèques de l’université de Montréal, qui s’est ému des suppressions d’abonnements que nous avons opérées en janvier et dont je partage entièrement la philosophie.

Lisez aussi cette interview de Paul Thirion, directeur général du réseau des bibliothèques de l’université de Liège – université qui a été l’une des premières à imposer le dépôt en Open Access pour tous les articles rédigés par ses membres.

Guy Cobolet, directeur

N’hésitez pas à faire part de vos réactions ou poser vos questions dans les commentaires ci-dessous.

Ebooks EOD à 10 euros

Offrez un ebook EOD pour Noël !

Jusqu’au 15 décembre 2013 plus d’un million d’ebooks EOD sont disponibles au prix unique de 10 euros, quel que soit le nombre de pages (au lieu du tarif habituel de 10 € + 0.15 € par page).

Les bibliothèques se réservent le droit de faire des exceptions dans certains cas spéciaux. Consultez les termes et conditons après avoir cliqué sur le bouton « commander un eBook » dans la notice du livre qui vous intéresse.

Noël 1522 : Riva di San Nazzaro offre un ebook EOD à François de Clermont.

Pour mémoire, EOD permet de commander des copies numériques des ouvrages libres de droit présents dans les fonds des institutions participantes. Depuis notre catalogue ou le SUDOC, il suffit de cliquer sur l’icône ci-dessous pour demander la reproduction de nos documents antérieurs à 1900.Bouton EOD

 

Les documents scannés sont fournis en quelques jours à celui qui les a commandés. Au bout de quelques mois seulement, ils deviennent consultables librement par tous.

Le moteur de recherche EOD comprend déjà plus de 3,5 millions d’ouvrages. 35 institutions de 12 pays différents participent au réseau, dont en France la BIU Santé et les bibliothèques universitaires de Strasbourg.

Plus d’informations en cliquant sur les liens ci-dessous :

EOD : http://books2ebooks.eu

Moteur de recherche : http://search.books2ebooks.eu

Twitter : http://twitter.com/eod_ebooks

Page Facebook : http://www.facebook.com/eod.ebooks

Circulating Now, le nouveau blog Histoire de la NLM

La National Library of Medicine, ce n’est pas que MedLine et la fameuse base PubMed. C’est aussi une collection de documents d’une richesse unique pour l’histoire de la médecine, depuis plus de 175 ans.

On y trouve des manuscrits (les plus vieux datent du XIe s.), près de 600 incunables, plus de 600.000 imprimés, les archives personnelles de grands médecins (Luther Terry, Joshua Lederberg, Marshall Nirenberg, C. Everett Koop…), des documents audiovisuels et photographiques.

Le nouveau blog du service d’histoire de la médecine de la NLM, «Circulating Now», met en valeur ces trésors parfois méconnus. Ce site est destiné non seulement aux chercheurs, mais aussi aux enseignants, étudiants, et à tous les curieux intéressés par la discipline.

Blog Circulating NowParmi les premières publications de ce blog : une mise en perspective d’un grand événement de l’histoire (de la médecine) américaine : l’assassinat et la lente agonie du vingtième président des États-Unis, James A. Garfield.

(Une étude de 12 pages sur l’état mental de Charles Guiteau, l’assassin du président Garfield figure justement dans les collections de la BIU Santé – vous pouvez même en commander une reproduction numérique via le service EOD, récemment récompensé).

L’adresse du blog « Circulating Now » : http://circulatingnow.nlm.nih.gov/

Hidden TreasurePour en savoir davantage sur les collections historiques de la NLM, téléchargez « Hidden Treasure », un livre électronique gratuit de 240 pages.

 

Le réseau EOD récompensé à Chicago

Le projet EOD (eBooks on Demand), auquel participe la BIU Santé, vient d’être distingué par l’American Library Association (ALA). Comme son nom l’indique, la « Presidential Citation for Innovative International Library Projects » récompense les initiatives originales dans le monde des bibliothèques.

Guy Cobolet, directeur de la BIU Santé, et Silvia Gstrein, coordinatrice du réseau EOD, ont reçu cette citation des mains de Maureen Sullivan, présidente de l’ALA. La cérémonie a eu lieu le 1er juillet dernier à la Public Library de Chicago, où se tenait le congrès annuel de l’association.

De gauche à droite : M. Sullivan, G. Cobolet, S. Gstrein.

Pour mémoire, EOD permet aux lecteurs de commander des copies numériques des ouvrages libres de droit présents dans les fonds des institutions participantes. Depuis notre catalogue ou le SUDOC, il suffit de cliquer sur l’icône ci-contre pour demander la reproduction de nos documents antérieurs à 1900.Bouton EOD

 

Les documents scannés sont fournis en quelques jours à celui qui les a commandés. Au bout de quelques mois seulement, ils deviennent consultables librement par tous.

Le moteur de recherche EOD comprend déjà plus de 3,5 millions d’ouvrages. 35 institutions de 12 pays différents participent au réseau, dont en France la BIU Santé et les bibliothèques universitaires de Strasbourg.

Plus d’informations sur EOD en cliquant sur les liens ci-dessous :

EOD : http://books2ebooks.eu

Moteur de recherche EOD : http://search.books2ebooks.eu

Twitter EOD : http://twitter.com/eod_ebooks

Page Facebook EOD : http://www.facebook.com/eod.ebooks

Test en ligne du Remington: The Science and Practice of Pharmacy

Couverture du RemingtonIl est proposé à la faculté de pharmacie et à titre de test (sur place uniquement via nos ordinateurs) jusqu’au 31 août prochain un accès en ligne à l’ouvrage américain Remington: The Science and Practice of Pharmacy (cliquez sur le titre pour accéder au test).

La première édition imprimée de cet ouvrage date de 1886, et nous en sommes en 2013 à la 22e édition.

L’ouvrage (version papier) est divisé en 2 parties : les monographies d’agents médicaux et pharmaceutiques dans le volume 1, le volume 2 étant consacré à la pratique de la pharmacie.

Cet ouvrage s’adresse aussi bien aux étudiants, aux chercheurs qu’aux pharmaciens.

Didier Partouche

Continuer la lecture de « Test en ligne du Remington: The Science and Practice of Pharmacy »

Pharmacie, nouvel ebook : Current Protocols in Cytometry

Un nouvel ebook, Current Protocols in Cytometry, est désormais disponible sur le site de la BIU Santé (en local pour tous les lecteurs, à distance pour les affiliés Paris Descartes).

Vous le trouverez notamment en effectuant une recherche par titre dans notre rubrique “livres électroniques.

Current Protocols CytometryPublié sous les auspices de l’International Society for Advancement of Cytometry, CPCY est un ensemble de “bonnes pratiques”, visant à diffuser les techniques les plus avancées des meilleurs laboratoires et spécialistes mondiaux en cytométrie. C’est pour l’heure l’ensemble le plus complet de protocoles évalués en la matière.

Mis à jour tous les 3 mois, CPCY est en constante évolution pour suivre le rythme des découvertes et développements les plus récents. Les mises à jour trimestrielles représentent en moyenne 470 pages de contenu nouveau (52%) ou révisé (48%) par an depuis la publication des deux volumes de départ  en octobre 1997.

Ce livre électronique :

– Fournit un panorama complet sur la cytométrie en flux, accompagné de centaines de techniques avancées, de l’instrumentation à l’interprétation, de la fluorescence à la densité antigénique, de la recherche à l’application clinique ;

– Propose une couverture en profondeur de la microscopie et des lignes directrices d’experts sur l’interprétation de l’image, la microscopie confocale, et les sources de lumière ;

– Contient des données fondamentales, des descriptions de solutions-mères, des équipements, des techniques courantes, etc. dans trois annexes différentes.

Continuer la lecture de « Pharmacie, nouvel ebook : Current Protocols in Cytometry »

Nouveautés EOD

Le service eBooks on Demand (EOD) est désormais disponible en Suisse.

EOD

Trois nouvelles bibliothèques ont en effet rejoint le réseau EOD, qui compte aujourd’hui 35 participants dans 12 pays, dont en France la BIU Santé et les bibliothèques universitaires de Strasbourg :

Avec ces nouveaux membres, le nombre total de documents disponibles via EOD dépasse dorénavant les 3,5 millions.

Les collections de ces bibliothèques faisant partie du domaine public peuvent désormais être numérisées via EOD. Les documents numérisés sont fournis en quelques jours à celui qui les a commandés. Au bout de quelques mois seulement, ils deviennent consultables librement par tous.

En ce qui concerne les ressources de la BIU Santé (antérieures à 1900), vous pouvez commander des reproductions numériques directement depuis les résultats de notre catalogue, en cliquant sur l’icône EOD (en bas de la notice).

EOD BIU Santé

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette fonction est aussi accessible depuis peu directement depuis le catalogue national SUDOC (à gauche de la notice cette fois-ci) :

EOD Sudoc

 

 

 

 

 

Plus d’informations sur EOD en cliquant sur les liens ci-dessous :

EOD : http://books2ebooks.eu

Moteur de recherche EOD : http://search.books2ebooks.eu

Twitter EOD : http://twitter.com/eod_ebooks

Page Facebook EOD : http://www.facebook.com/eod.ebooks

A qui appartient le savoir ? Un article du Monde

Le supplément Science & Techno du journal Le Monde (2 mars 2013) s’intéresse à la question brûlante de la diffusion des connaissances.

Article A qui appartient le savoir ?

À qui appartient le savoir ? : cet article est consultable à la BIU Santé, seul le schéma récapitulatif est accessible gratuitement en ligne.

Un « making-of » de l’article présente des éléments complémentaires sur le blog de l’un des auteurs.

Sandrine Cabut et David Larousserie font le point en 2 pages sur les vives controverses qui agitent désormais l’édition académique.

Des scientifiques s’opposent aux pratiques jugées abusives de certains éditeurs, alors que la recherche est en partie subventionnée par des fonds publics. Enjeux financiers, politiques et déontologiques s’entremêlent à une échelle planétaire.

La BIU Santé est directement concernée par ces questions, puisqu’elle est abonnée à près de 10 000 titres électroniques en santé et sciences de la vie, et 1 500 revues en format papier.

L’association américaine des bibliothèques estime par exemple qu’entre 1986 et 2011 les prix des abonnements aux revues scientifiques ont augmenté en moyenne de 6% par an.

En complément de cet article, Le Monde appelle les chercheurs à exprimer leur avis :

« Chercheurs, quels sont selon vous les défauts du système actuel de diffusion des connaissances ? »

À vos claviers !

Atlas d’anatomie IMAIOS

L’atlas d’anatomie IMAIOS est désormais accessible directement depuis la page d’accueil du pôle médecine-odontologie – en partenariat avec les bibliothèques de l’université Paris Descartes.

e-Anatomy est un atlas interactif d’anatomie humaine, destiné aux médecins, radiologues, étudiants et professionnels de l’imagerie médicale. L’application présente des examens d’imagerie médicale (scanner, IRM, radiographie) avec des structures anatomiques légendées ainsi que des schémas.

Imaios
Atlas d’anatomie Imaios

e-Anatomie a été primé plusieurs fois par la société française de Radiologie et plusieurs sociétés européennes et nord-américaines de radiologie.

Le site d’IMAIOS comprend 3 grandes parties :
• e-Anatomy : atlas d’anatomie
• e-Cours : formation interactive spécialisée dans l’imagerie par résonance magnétique
• Cas cliniques : ateliers virtuels et banque de cas cliniques interactifs sur l’imagerie médicale.