Table ronde sur les besoins documentaires en santé (édition 2016)

En novembre 2016, comme tous les ans, une table ronde a été organisée par la BIU Santé et l’Urfist de Paris sur le thème des besoins documentaires en santé.

Étudiants, enseignants et professionnels de la santé et de la documentation ont été invités à parler de leurs besoins et pratiques documentaires. Vous trouverez ci-dessous le compte rendu de ces échanges (rédigé avec l’aide des intervenants, merci encore à eux pour leur participation).

Étaient présents :

Trois thèmes ont été abordés au cours de cette table ronde :

  1. Quels sont les usages et besoins pour la documentation en santé ?
  2. Quels sont les outils utilisés par les professionnels de santé pour accéder à la documentation, ont-ils reçu une formation spécifique à ces outils ?
  3. Comment accède-t-on aux documents, dans un contexte budgétaire contraint ?

Des besoins variés

Yves Boucher commence par rappeler qu’il existe plusieurs types de besoins. Les enseignants veulent trouver des documents pour leurs recherches et leurs cours. Les étudiants cherchent de quoi les aider à apprendre leurs cours, progresser dans leurs études et, à terme, rendre une thèse. Ceux de 1er et 2e cycle ont besoin de références variées pour assimiler les connaissances de base. Ils utiliseront ensuite la bibliothèque d’une autre manière quand ils passeront leur thèse, puisqu’ils produisent alors eux-mêmes un document. Une fois inscrits en 3e cycle, l’apprentissage devient plus spécifique, nécessitant parfois des articles très pointus. Plus tard, l’obtention éventuelle d’un DU ou d’un master passe par l’apprentissage de questions très précises,  essentiellement dans des livres ou des revues.

Il existe ensuite plusieurs degrés d’urgence. Quand l’enseignant écrit un papier, il a besoin d’articles scientifiques, tout de suite. En ce qui le concerne, Yves Boucher a alors recours au réseau Inserm. Si on ne trouve pas dans ces bases, on se tourne vers les universités, la sienne ou d’autres. Les étudiants ont des besoins moins urgents, qui peuvent attendre quelques jours, quand ils travaillent sur leur thèse.

Michaël Thy précise que les internes en médecine ont peu de temps. Malgré tout, ils doivent parfois réaliser des recherches d’articles sur des thèmes donnés. Son association, l’AJAR, travaille avec la BIU Santé pour proposer à ses membres des formations à la recherche dans PubMed et à la mise en forme de bibliographies avec Zotero. Avec l’Evidence-Based Medicine (EBM) on doit s’appuyer sur des données scientifiques. Cela fait partie de la médecine actuelle, il faut justifier la prise de décision. Quant à la thèse ou aux mémoires, le défi est de produire quelque chose dans un laps de temps limité.

Au début des études de médecine on travaille sur des ouvrages de référence et des sujets à apprendre par cœur. On a alors moins besoin de documents. Ensuite on doit de plus en plus approfondir, ce qui ouvre des perspectives sur la documentation, de plus en plus ciblée.

Dans la plupart des facultés, les étudiants sont désormais sensibilisés à la lecture critique d’article (LCA), c’est la tendance avec l’EBM depuis de nombreuses années. Ils doivent savoir critiquer les articles et éventuellement les utiliser pour leur pratique – car les recommandations se basent elles-mêmes sur des articles. Les pratiques évoluent vite en médecine, il faut se tenir au courant avec la formation continue, qui est indispensable.

Ce besoin de documentation pour prendre la bonne décision est spécifique aux disciplines de santé. Nicole Mesnil confirme qu’apprendre à réaliser une recherche bibliographique est aussi important pour les sages-femmes. Les deux premières années, les étudiants utilisent des ouvrages de base, en obstétrique, pédiatrie, gynécologie… Souvent très chers (50 à 150 euros), la plupart des étudiants ne peuvent se les acheter (ou alors à plusieurs, quand ils s’entendent bien !). En plus, ces ouvrages doivent être renouvelés régulièrement.

Pour les sages-femmes, on constate une «montée en puissance» jusqu’à la production du mémoire, avec une préparation en méthodologie de recherche. Les étudiants sont soutenus par les enseignants, à l’aide d’entretiens, de grilles de notation. Des exposés doivent être réalisés à partir d’articles ou de résumés de textes. En 3e année, il y a le projet d’éducation à la santé, qui prend beaucoup de temps. Une des spécificités des sages-femmes, c’est qu’il y a toujours deux sujets, la femme et le nouveau-né. Il y a donc le développement du fœtus et la grossesse, la naissance (avec la néonatologie et la pédiatrie), et le côté environnement de la femme (par exemple, la précarité des femmes, fréquente dans les maternités parisiennes). C’est une littérature qui concerne à la fois la médecine et les sciences humaines, la santé publique, les recommandations, le parcours de soins… Les étudiants doivent aussi constituer des portfolios, avec une méthodologie de recherche, une analyse des pratiques, de manière individuelle ou en groupe (3e et 4e année). Les retours de stage sont aussi exploités, on leur donne à cette occasion des sources bibliographiques. C’est un aspect de formation continue, on part de la clinique et on réfléchit à ce qui s’est passé. Sur les questions de précarité, on trouve aussi beaucoup de choses bien faites sur le site du ministère, des enquêtes nationales, beaucoup plus que par le passé.

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Trois questions à Nicolas de Chanaud, créateur du site LEPCAM

nicolas-de-chanaudNicolas de Chanaud est chef de clinique au département de médecine générale de l’université Paris Descartes tout en exerçant son activité clinique dans un cabinet parisien. Dans le cadre de sa thèse d’exercice, il a conçu le site LEPCAM (Lire, Écrire, Publier et Communiquer des Articles Médicaux) destiné à l’apprentissage des compétences en recherche médicale, de la PACES au post-doctorat.

Nous l’avons interrogé sur sa démarche et les raisons qui l’ont poussé à élaborer ce site.

Pourquoi ce site et à qui s’adresse-t-il ?

Je suis parti du constat qu’apprendre à faire de la recherche est indispensable à chaque étape du cursus médical mais aussi pour la recherche et la pratique clinique.

Ce site s’adresse donc à différents publics. Aux étudiants, d’abord, qui sont évalués lors des examens et passent l’épreuve de LCA (lecture critique d’article) au moment des ECN (épreuves classantes nationales), ainsi qu’aux internes réalisant leur thèse. Aux chercheurs, ensuite, qui créent du savoir et doivent publier et communiquer leurs recherches lors de congrès, aussi bien pour le progrès de leur discipline que pour l’évolution de leur carrière. Celle-ci est d’ailleurs de plus en plus fondée sur l’évaluation, comme le système des points SIGAPS, par exemple. Aux praticiens, enfin, qui doivent savoir analyser les données de la science, afin de pratiquer une médecine de qualité et être en mesure de répondre aux questions de leurs patients, des patients qui de plus en plus s’informent par eux-mêmes sur les maladies et les traitements, sur Internet ou ailleurs. Le site a pour objectif de développer la recherche qualitative et quantitative en santé, particulièrement en médecine générale, mais il s’adresse aussi aux autres disciplines.

lepcamJe suis aussi parti du constat qu’il existait finalement peu de ressources disponibles sur le sujet. Bien sûr, lors de la PACES, les étudiants disposent de polycopiés. Sur la thèse, il existe le guide d’Hervé Maisonneuve, publié par Sanofi, et pour la recherche, il y a bien les ouvrages de Louis-Rachid Salmi et de Paul Frappé, ce dernier étant d’ailleurs issu de son travail de thèse. Mais aucune de ces ressources ne prend en compte la continuité des études et de la carrière médicale, de la PACES à la recherche et à la pratique clinique. De plus, certaines ressources ne sont pas accessibles, voire payantes. Je suis très attaché à ce que le contenu de LEPCAM soit gratuit et réutilisable librement dans le cadre d’une licence Creative Commons.

Quels retours avez-vous eu après le lancement du site ?

Dans le cadre de ma thèse, j’ai proposé un questionnaire sur le site pour le faire évaluer par ses utilisateurs. Les retours sont positifs : 78% des répondants le jugent utile et sont prêts à s’en servir dans le cadre de leurs études et de leur pratique. Côté statistiques, on compte en moyenne 24 visiteurs uniques par jour.

J’ai eu l’occasion de faire un peu de communication pour promouvoir le site : je suis présent sur Facebook et sur Twitter. Actuellement, je le présente à des congrès et j’essaie de valoriser mon travail sous forme d’article.

lcaLes pages les plus consultées sont «Identifier la question et le type d’étude adapté» et «Élaborer un protocole». Vient ensuite la page sur la méthodologie de l’épreuve de LCA (lecture critique d’article).

Parmi les suggestions d’amélioration, on m’a fait remonter que certains pages étaient parfois un peu trop exhaustives. On m’a aussi demandé de rajouter des exercices sur la LCA : sont référencés ceux de la revue Prescrire et prochainement quelques sujets corrigés de LCA, toujours dans l’objectif de mettre en valeur les ressources disponibles gratuitement. Enfin, on m’a aussi demandé d’ouvrir le site aux autres disciplines de santé, aux infirmiers et aux pharmaciens, en particulier. Je suis en train d’y travailler.

Justement, comment voyez-vous l’évolution de LEPCAM ?

Comme je le disais précédemment, le site pourrait être décliné selon les différents profils des apprenants : en fonction de leur avancée dans leur cursus ou de leur discipline en santé. On pourrait aussi envisager, pour certains contenus, une rubrique avec l’information essentielle sur un thème, et une autre plus approfondie, pour aller plus loin.

À terme, je souhaiterais que le site devienne collaboratif et je voudrais impliquer les personnes qui développent une expertise sur un sujet à créer un contenu correspondant sur LEPCAM. Par exemple, je suis actuellement en relation avec une interne de médecine générale qui consacre sa thèse aux études mixtes, c’est-à-dire mêlant les approches quantitatives et qualitatives en MG. Cela serait l’occasion de développer un contenu dédié sur le site.

Propos recueillis par Benjamin Macé

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Réabonnement à la plateforme d’e-learning IMAIOS

imaios

La BIU Santé est heureuse de pouvoir vous proposer à nouveau l’accès à la base IMAIOS.

Fondée par deux radiologues montpelliérains en 2008, IMAIOS est une société qui propose des formations, cours et diplômes en ligne de haute qualité scientifique et pédagogique, destinés aux professionnels de la santé.

Ces cours sont développés en collaboration avec des universitaires et experts de la santé et font aujourd’hui d’IMAIOS un acteur reconnu par les plus grandes universités médicales qui utilisent ses solutions pédagogiques (Yale, Stanford, Harvard…).

imaiosIMAIOS comprend plusieurs sections :

  • e-Anatomy : un atlas interactif d’anatomie humaine
  • Échographie ostéo-articulaire : des cours vidéo d’échographie ostéo-articulaire
  • Formations DPC : des programmes de DPC et de la formation professionnelle continue en e-learning
  • e-MRI : des cours interactif sur l’imagerie par résonance magnétique
  • Classifications : les classifications couramment utilisées en imagerie médicale
  • e-Cases : une base de données collaborative de cas cliniques médicaux
  • Préparation ECNi : une plateforme de préparation à l’ECN
  • Anatomy Ninja Lower Limb : des serious games sur l’anatomie humaine
  • Un DIU Imagerie ostéo-articulaire (de Montpellier et Toulouse)
  • vet-Anatomy : un atlas d’anatomie vétérinaire basé sur des examens d’imagerie médicale

Son contenu dépasse celui d’un atlas d’anatomie et peut notamment intéresser les étudiants préparant le concours de l’internat. Pour accéder à cette base de données, il vous suffit de suivre ce lien.

Marjorie Simon

Le Moniteur de l’internat accessible en ligne et à distance !

Le Moniteur de l’Internat, 4e édition de 2013, est disponible en ligne depuis aujourd’hui pour l’ensemble de la communauté universitaire de Paris Descartes. L’accès est possible sur place ou à distance. Les quatre tomes sont signalés dans notre catalogue et dans la rubrique livres électroniques.

– Tome 1 Toxicologie Sciences mathématiques, physiques et chimiques (Accès Paris Descartes)

– Tome 2 Biochimie Hématologie (Accès Paris Descartes)

– Tome 3 Infectiologie (Accès Paris Descartes)

– Tome 4 Médicaments (Accès Paris Descartes)

Cette somme considérable, en 4 volumes et plus de 4.400 pages, passe en revue les connaissances essentielles pour l’ensemble des disciplines de la biologie médicale et de la pharmacie. C’est l’ouvrage indispensable pour tous les étudiants qui préparent le concours de l’internat en pharmacie, dont il couvre tout le vaste programme (voir aussi ce lien des CNCI pour des informations plus précises). Mais c’est aussi devenu un outil de référence et de formation continue pour les pharmaciens et les biologistes.

Sous la direction du Dr Michel Vaubourdolle, biologiste des hôpitaux (Paris, AP-HP, CHU Saint-Antoine), et d’un comité éditorial de six spécialistes, plus de 230 universitaires et praticiens de toutes les régions de France ont mis en commun leurs efforts pour livrer ce panorama complet en 206 chapitres denses, accompagnés chacun d’une bibliographie.

L’ouvrage est préfacé par le Pr Dominique Porquet, doyen de la faculté de pharmacie de Paris 11-Châtenay-Malabry (qui fournit un contingent notable d’auteurs) et président de la conférence des Doyens des facultés de pharmacie de France.

Les étudiants en pharmacie (et en médecine) de l’université Paris Descartes retrouveront aussi, parmi les auteurs, plusieurs noms qui leur sont familiers, enseignants-chercheurs de l’UFR des Sciences pharmaceutiques et biologiques, notamment, et de ses laboratoires : E. Bourgogne, J.-M. Warnet, P. Lefebvre, M.-C. Menet, É. Pasmant, B. Parfait, D. Vidaud, M. Vidaud, L. Cynober, J.-P. de Bandt, Ch. Aussel, J.-L. Beaudeux, P. Gaussem, M. Aiach, V. Siguret, N. Kapel, S. Houze, J.-C. Chaumeil.

L’édition papier est toujours disponible au Bureau de renseignements du pôle Pharmacie en 4 exemplaires, dont 3 sont empruntables (voir notre billet d’octobre 2013).

Didier Partouche, Alain Delaforge et Jeremy Schreiber

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Hippocrate, le film !

L’internat vu par un ancien interne

Une fois n’est pas coutume, un film français s’intéresse au quotidien des internes.

Il s’agit d’Hippocrate, de Thomas Lilti, avec notamment Vincent Lacoste, Jacques Gamblin, Reda Kateb et Marianne Denicourt, qui sort en salles demain mercredi 3 septembre.

Ce film dramatique possède la particularité d’avoir été réalisé par un cinéaste qui est aussi médecin généraliste, toujours en exercice.

On y découvre le début de carrière de Benjamin, interne qui vient de prendre son poste dans l’hôpital où travaille son père.

Le scénario met notamment en lumière les hiérarchies hospitalières, le rôle des FFI ou le manque de moyens de l’hôpital public.

La bande annonce :

Hippocrate a été sélectionné pour la semaine de la critique à Cannes et a reçu le Valois d’or du 7e Festival du film francophone d’Angoulême

En savoir plus

L’émission « On aura tout vu » du 30 août sur France Inter.

Le dossier de presse très complet, avec des entretiens réunissant le réalisateur et deux des acteurs principaux.

« Un regard juste et drôle sur l’hôpital public », critique dans le journal Le Monde, accompagnée d’un portrait du réalisateur Thomas Lilti (articles réservés aux abonnés, accessibles aux affiliés Paris Descartes).

Hippocrate
Realise par : Thomas Lilti
Une production : Agnès Vallée, Emmanuel Barraux
Starring:
Vincent Lacoste

Le « Moniteur de l’Internat » nouveau est arrivé !

Les éditions Wolters Kluwer France viennent de publier la 4ème édition refondue et entièrement réactualisée de la collection «Le Moniteur de l’Internat».
Cette somme considérable, en 4 volumes et plus de 4.400 pages, passe en revue les connaissances essentielles pour l’ensemble des disciplines de la biologie médicale et de la pharmacie.
Très attendue, cette nouvelle édition remplace la 3ème édition (4.100 pages) qui datait de 2007.

C’est l’ouvrage indispensable pour tous les étudiants qui préparent le concours de l’internat en pharmacie, dont il couvre tout le vaste programme (voir aussi ce lien des CNCI pour des informations plus précises). Mais c’est aussi devenu un outil de référence et de formation continue pour les pharmaciens et les biologistes.

Sous la direction du Dr Michel Vaubourdolle, biologiste des hôpitaux (Paris, AP-HP, CHU Saint-Antoine), et d’un comité éditorial de six spécialistes, plus de 230 universitaires et praticiens de toutes les régions de France ont mis en commun leurs efforts pour livrer ce panorama complet en 206 chapitres denses, accompagnés chacun d’une bibliographie.

L’ouvrage est préfacé par le Pr Dominique Porquet, doyen de la faculté de pharmacie de Paris 11-Châtenay-Malabry (qui fournit un contingent notable d’auteurs) et président de la conférence des Doyens des facultés de pharmacie de France.

 

Les étudiants en pharmacie (et en médecine) de l’université Paris Descartes retrouveront aussi, parmi les auteurs, plusieurs noms qui leur sont familiers, enseignants-chercheurs de l’UFR des Sciences pharmaceutiques et biologiques, notamment, et de ses laboratoires : E. Bourgogne, J.-M. Warnet, P. Lefebvre, M.-C. Menet, É. Pasmant, B. Parfait, D. Vidaud, M. Vidaud, L. Cynober, J.-P. de Bandt, Ch. Aussel, J.-L. Beaudeux, P. Gaussem, M. Aiach, V. Siguret, N. Kapel, S. Houze, J.-C. Chaumeil,…

La collection « Le Moniteur de l’Internat » 2013  est disponible dès à présent à la BIU Santé au pôle pharmacie-biologie-cosmétologie, en quatre exemplaires, dont 3 exemplaires empruntables de chaque tome, à demander au bureau d’accueil de la Salle Dorveaux.

En cliquant sur les illustrations vous pourrez visualiser la table des matières complète de chacun des tomes. Pas d’index malheureusement, ni de photographies en couleurs (présence cependant de nombreux schémas et tableaux), mais tous les items de la table des matières, ainsi que les auteurs, peuvent être retrouvés en interrogeant le catalogue en ligne de la BIU Santé (index «Tous les mots» ou «Mots-clés»). Bonne dégustation à tous…

Alain Delaforge, Dominique Devin et Jérémy Schreiber

N.B. : Les Éditions Wolters Kluwer envisagent une version en ligne des 4 volumes. Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant si ce projet se concrétise.

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Entraînez-vous aux ECN avec Conf+

Une nouveauté sur notre site pour vous aider à réussir les ECN : Conf+ (cliquez ici pour y accéder directement).

Il s’agit d’une plateforme de préparation au concours de l’internat, conçue par Med XL/S Éditions, éditeur de livres spécialisé en la matière.

Conf+

Destinée aux étudiants de D3-D4, la plateforme comporte :
– des conférences de consensus avec fiche de synthèse, résumé vidéo et texte complet annoté et surligné par l’auteur. Pour les vidéos, munissez-vous d’un casque audio – nous pouvons aussi vous en prêter à la bibliothèque !
345 fiches couvrant les 345 items du programme ;
120 cas d’imagerie composés d’un énoncé et d’un commentaire vidéo de l’auteur.

L’accès distant est réservé aux étudiants de Paris Descartes. Pour bénéficier des fonctionnalités avancées, vous devez vous créer un compte personnel avec votre adresse mail Paris Descartes (etu.parisdescartes.fr).

 Catherine Weill