Pour clore agréablement cette première partie de l’année universitaire, les bibliothécaires du pôle pharmacie de la BIU Santé vous convient à un petit déjeuner convivial le jeudi 19 décembre.
Après avoir partagé avec nous thé, café et gourmandises sucrées, vous pourrez emprunter un paquet surprise préparé par les bibliothécaires.
Nous avons sélectionné pour vous des livres surprenants, joliment illustrés, instructifs pour vous accompagner pendant les fêtes de fin d’année.
Vous vous laisserez guider par des indices pour choisir un paquet parmi nos surprises.
Chaque cadeau contient un livre ; vous n’oublierez pas d’enregistrer le prêt de votre surprise à l’accueil de la bibliothèque.
Nous vous attendons nombreux dès 9 h30 devant la salle Dorveaux !
La Bibliothèque interuniversitaire de Santé et le Musée d’Histoire de la médecine organisent une exposition consacrée aux plantes et à la pharmacopée japonaises dans le cadre de Japonismes 2018, qui marque la célébration du 160e anniversaire des relations diplomatiques franco-japonaises et le 150e anniversaire de l’ère Meiji (1868). Intitulée «Se soigner au Japon : plantes et pharmacopée (« XVIIe-XXe siècle)», l’exposition est installée au Musée d’Histoire de la médecine, 12 rue de l’École-de-Médecine, Paris 6e, du lundi 22 octobre 2018 au mercredi 9 janvier 2019. Une sélection d’objets et documents, exceptionnellement rassemblés dans ce très beau musée, illustrent l’influence réciproque de ces deux régions du monde concernant les questions de santé et de thérapeutique, à partir de l’ère Edo et plus encore à partir l’ère Meiji en 1868.
Organisée selon un récit en trois temps, l’exposition présente la pharmacopée japonaise ainsi qu’une sélection de plantes qui la composent. Elle s’intéresse ensuite à la figure de Junichirô Shimoyama (1853-1912), considéré comme le fondateur de la pharmacie moderne japonaise. Elle aborde enfin deux approches thérapeutiques typiquement japonaises : le moxa et la médecine Kampo, intégrée aujourd’hui au système de santé japonais.
Les objets et documents exposés proviennent des collections patrimoniales de la Bibliothèque interuniversitaire de Santé, du Musée d’Histoire de la médecine, du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens, des collections de matière médicale du Musée François Tillequin ainsi que de collections privées.
Le Musée d’Histoire de la médecine est ouvert tous les jours de 14h à 17h30 sauf les jeudi, dimanche et jours fériés. Le musée sera fermé du 22 décembre 2018 inclus au 3 janvier 2019 inclus.
BLANQUIER, Raoul (1869-?). Des magnoliacées et de leurs produits. [S.l.] : [s.n.], 1893.
Disponible dans Medic@
BIU Santé (Pôle pharmacie) : Prix Ménier 1893
BLUME, Carl Ludwig. Collection des Orchidées les plus remarquables de l’Archipel Indien et du Japon. Amsterdam, C. G. Sulpke, 1858-1859.
Disponible dans la bibliothèque numérique de l’Université Goethe (Francfort-sur-le-Main)
BIU Santé (Pôle pharmacie) : RES 27
BOYLE, James. A treatise on moxa, as applicable more particularly to stiff joints; illustrated by cases and plates, with some general observations on spinal diseases. Londres, Callow and Wilson, 1825.
Disponible dans Medic@
BIU Santé (Pôle médecine) : 35597
Échantillon d’agar-agar, modèle réduit de pilon et mortier.
Musée François Tillequin – Collections de matière médicale, Paris
Échantillons de matière médicale provenant du Japon : Cnidium officinale, Coix lachryma jobi, Coptis japonica ; Ophiogon japonicus, Scutellaria baicalensis
Musée François Tillequin – Collections de matière médicale, Paris
Ecole supérieure de pharmacie de Paris. Collection des matières médicales [carte postale] A. Breger frères (rue Thénard, Paris), 1904 (circa).
Dossier 316 pièce 16.
Disponible dans la Banque d’images et de portraits de la BIU Santé
HAGENDORN, Ehrenfrid. Tractatus physico-medicus de catechu, sive terra japonica, in vulgus sic dicta, ad normam Academiae naturae-curiosorum. Iéna, J.Bielkii ,1679.
Disponible dans la Bayerische Staatsbibliothek Digital
BIU Santé (Pôle pharmacie) : RES 19440
KAEMPFER, Engelbert. Histoire naturelle, civile, et ecclésiastique de l’empire du Japon. La Haye, P. Gosse & J. Neaulme, 1729.
BIU Santé (Pôle pharmacie) : RES 517-1 et 2
Marcon, L. I. Dissertation sur l’action du moxa. Thèse de la Faculté de médecine de Paris. Paris, Didot, 1826.
BIU Santé (Pôle médecine) : 35597
Disponible dans Medic@
Pharmacopoea Japonica. Tokyo, Insetsu Kyoku, 1886. Note : édition latine Conseil national de l’Ordre des pharmaciens
BIU Santé (Pôle pharmacie) : P 50099-1
Poupée Tsoë-Bosi, XVIIIe siècle.
Musée d’histoire de la médecine, Paris : Inv. 90.170.1
Publicités, sac et sachets de médicaments japonais, fin xixe-première moitié du XXe siècle
LABORATOIRES MOTOSADA INUBUSHI. Keishintan, Katsujugan [Publicité]. Awa, [s.d].
LABORATOIRE TAKATA-SEYIAKU. Reizinto [Publicité pour un médicament destiné aux femmes].
Collection Frédéric Bonté
SARLANDIERE, Jean-Baptiste. Mémoires sur l’électro-puncture, considérée comme moyen nouveau de traiter efficacement la goutte, les rhumatismes et les affections nerveuses, et sur l’emploi du moxa japonais en France, suivis d’un traité de l’acupuncture et du moxa… par le chevalier Sarlandière,… Paris, chez l’auteur…, et chez Melle Delaunay…, 1825.
Disponible dans Medic@
BIU Santé (Pôle médecine) : 90958, t.416, n° 5
SHIBATA, Shōji ; OHTSUKA, Shōji ; SAITO, Hiroshi. Recent advances in ginseng studies : proceedings of the international Ginseng seminar, held in Sanjo Kaikan, University of Tokyo, April 1, 1989. Tokyo, Hirokawa publishing, 1990.
BIU Santé (Pôle pharmacie) : 117559
SHIMOYAMA, Junichirô. Pharmaceutical botany lecture. Tokyo, Meiji Medical Lecture Society, [1895].
Collection Frédéric Bonté
SHIMOYAMA, Junichirô. Pharmacognosie. 16e édition revue et augmentée par Yasuhiko Asahina et Naoichi Fujiwara, 1924.
Collection Frédéric Bonté
The Pharmacopoeia of Japan. Tokyo, Pharmaceutical Society of Japan, 1907.
Conseil national de l’Ordre des pharmaciens, Paris
BIU Santé (Pôle pharmacie) : P 50099-3
THUNBERG, Carl Peter. Flora Japonica sistens plantas insularum Japonicarum secundum systema sexuale emendatum redactas ad XX classes, ordines, genera et species cum differentiis specificis, synonymis paucis, descriptionibus concinnis et XXXIX iconibus adjectis. Leipzig, I. G. Mülleriano, 1784.
Disponible sur Biodiverstiy Heritage Library
BIU Santé (Pôle pharmacie) : RES 11809
THUNBERG, Carl Peter. Voyages de C. P. Thunberg, au Japon par le cap de Bonne-Espérance, les isles de la Sonde… Paris, Benoît Dandré, 1796.
BIU Santé (Pôle pharmacie) : 5244-1 et 2
TITSINGH, Isaac. Beschreiving an het naalde steeken en moxa branden. XIXe siècle.
Disponible dans Medic@
BIU Santé (Pôle médecine) : Ms. 45
TSUDSIOKA, S. MURAI, J. Catalogue of the collection of Japanese and Chinese drugs. Tokyo, 1883.
BIU Santé (Pôle pharmacie) : 119939
Le musée de Cluny vient de rouvrir à Paris après plusieurs mois de travaux. « La dame à la licorne » en est l’une des attractions principales depuis 1882. Et c’est justement cet animal fantastique qui a été choisi comme thème de la nouvelle exposition temporaire du musée.
Elle ambitionne de démontrer que la licorne est source d’engouement depuis la fin du Moyen-Âge, jusqu’à nos jours. Sera aussi évoquée la source majeure d’inspiration pour les artistes qu’est depuis longtemps la tenture de la Dame à la licorne.
Deux documents ont été prêtés par la BIU Santé :
Josse BADE, Stultifere naves, [Paris] : Thielmann Kerver, pour E. [J. et G.] de Marnef, [1500]. Cote 6311 au pôle Médecine. Non pas que cet ouvrage traite spécialement de licornes (il est plutôt connu pour sa nef des fous), mais la marque d’imprimeur représente le fabuleux animal. Vous retrouverez dans notre banque d’images quelques clichés noir et blanc de cet exemplaire.
L’Ortus sanitatis, soit le Jardin de santé, première édition d’un incunable imprimé en 1491 et illustré de gravures sur bois colorées. Cet ouvrage décrit différents éléments du monde naturel (les plantes, les animaux terrestres, les oiseaux, les poissons, les pierres et… les urines) et propose pour certains de ces éléments une ou plusieurs applications thérapeutiques (cote RES 5915 au pôle Pharmacie).
La licorne est une petite beste mais elle a grant force en son corps […] Elle ne craint point le fer […] et habite es haultes montaignes.
Les deux ouvrages seront exposés de manière alternée au cours de l’exposition.
… encore plus de licornes !
D’autres portraits de licornes figurent dans notre banque d’images et de portraits (plus de 230 000 clichés libres de droits).
Et comme il aurait été dommage de parler licornes sans arc-en-ciel, nous ne résistons pas au plaisir coupable de vous offrir ce magnifique GIF animé – qui n’est malheureusement pas issu de nos collections !
C’est en 1817 que ce qui allait devenir «la maladie de Parkinson» a été décrit pour la première fois, par le médecin anglais du même nom.
Le King’s College de Londres a organisé fin 2017 une exposition sur ce thème, Parkinson of the disease, pour les 200 ans de cette publication. À cette occasion, la BIU Santé a fourni quelques images de la thèse de Constantin Tretiakoff de 1919 sur ce même sujet.
À Enschede (Pays-Bas) vient de s’ouvrir une grande exposition consacrée aux œuvres de Gérard de Lairesse.
Elle se tient au Rijksmuseum Twenthe du 10 septembre 2016 au 22 janvier 2017. C’est la première exposition d’envergure autour de cet artiste important de la fin du Siècle d’or, assez peu connu du grand public.
Gérard de Lairesse (1641-1711) est surtout réputé pour ses peintures bibliques et mythologiques. Mais il est également l’auteur d’admirables dessins d’anatomie réalisés pour l’Anatomia Humani Corporis de son ami le médecin Govert Bidloo (1685). La BIU Santé conserve dans ses collections les cent six dessins originaux qui subsistent.
En tout, une soixantaine d’œuvres, parfois monumentales, ont été réunies pour l’exposition, en provenance de plusieurs musées d’Europe.
La BIU Santé a pour l’occasion prêté neuf des précieux dessins de l’atlas de Bidloo, ainsi qu’un exemplaire de l’atlas lui-même. Une salle entière leur est consacrée.
C’est la troisième fois seulement en 220 ans que ces dessins sont présentés en-dehors de l’enceinte de la bibliothèque ; et jamais jusqu’ici plusieurs de ces dessins n’avaient été exposés en même temps : il a fallu en effet les retirer temporairement de leur lourde reliure pour que les visiteurs puissent en voir neuf à la fois.
L’exposition actuellement présentée au Château de Versailles met en lumière un document des collections de la BIU Santé rarement accessible au public : un volume manuscrit contenant la relation de la mort de Louis XIV par les médecins de la Faculté de Paris.
L’on peut ainsi y trouver la transcription de la lettre envoyée par Desgranges, Grand maître des Cérémonies, à Jean-Baptiste Doye, Doyen de la Faculté médecine, pour le convoquer à Versailles pour l’ouverture du corps du roi. Outre le Doyen et un Docteur régent de la Faculté, Guy Fagon, premier médecin du roi, et Georges Mareschal, premier chirurgien, assistèrent à l’ouverture du corps de Louis XIV.
« L’autopsie du corps du roi se pratique systématiquement depuis le XVIe siècle sur un mode public et médical ; elle intervient après l’éviscération pratiquée pour l’embaumement et l’extraction du cœur. Le premier médecin du roi préside à la cérémonie tandis que les chirurgiens procèdent à l’ouverture du corps. L’équipe médicale est composée des traditionnels thérapeutes de la cour, présents en nombre imposant, et de praticiens externes. L’usage de requérir la présence du doyen de la faculté de médecine de Paris, et d’un de ses collègues, apparaît avec le décès de Louis XIII, date à laquelle la Faculté fait insérer dans ses registres le procès-verbal d’autopsie. »
Alexandre Lunel (éd.), La représentation de la faculté de médecine de Paris lors de l’autopsie des rois de France, Paris, Cour de France.fr, 2009. Documents inédits publiés en ligne le 1er février 2009 dans le cadre du projet de recherche « La médecine à la cour de France »
Le procès-verbal de l’autopsie de Louis XIV, consigné au feuillet 86 du volume, détaille l’aspect extérieur des différentes parties du corps, très atteintes par la gangrène, puis passe en revue les organes internes, demeurés sains.
Le manuscrit exposé fait partie de la collection des Commentaires de la Faculté de médecine de Paris, série de registres où les doyens ont tenu le journal de leur administration depuis 1395 jusqu’à la veille de la Révolution. Cet ensemble, qui constitue une mine d’informations sur l’histoire et la vie de la Faculté au fil des siècles, reste cependant en grande partie inédit. Seuls les six premiers volumes ainsi que le dernier des vingt-quatre volumes existants ont été édités, de sorte que les années 1560 à 1777, soit plus de deux siècles, demeurent largement inexploitées. À la fois pour mettre en valeur et pour préserver cette collection unique et fragile, la BIU Santé a initié une campagne de numérisation qui permettra à terme de consulter ces volumes en ligne dans sa bibliothèque numérique Medic@.
Le Musée d’Histoire de la Médecine propose une conférence, «La mort du Roi : rituels et symboles», donnée par le Dr Philippe CHARLIER, le vendredi 29 janvier 2016 à 19h, 12 rue de l’École-de-Médecine 75006 Paris. Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Commentaires de la Faculté de médecine de Paris : 1395-1516, publiés par E. Wickersheimer, Paris, 1915 (cote 147168-1)
Commentaires de la Faculté de médecine de Paris : 1516-1560, publiés par M.-L. Concasty, Paris, 1964 (cote 147168-2)
Commentaires de la Faculté de médecine de Paris : 1777-1786, publiés par A. Pinard, H. Varnier, H. Hartmann, F. Widal, G. Steinheil, Paris, 1903 (cote 23034)
Plus que quelques jours pour visiter à Poitiers l’exposition «Images révélées : Poitiers à l’épreuve de la photographie (1839-1914)».
Elle « présente un panorama exceptionnel de la création photographique à Poitiers, depuis les débuts du daguerréotype dans les années 1840, jusqu’aux expositions artistiques du début du XXe siècle qui virent l’explosion des pratiques amateurs. La scénographie privilégie épreuves et tirages d’époque, pour la plupart inédits ».
Deux documents de la BIU Santé ont été prêtés à cette occasion :
Le commissariat d’exposition est assuré par le professeur Bernard DEVAUCHELLE, chef du service de chirurgie maxillo-faciale du CHU d’Amiens et fondateur de l’Institut Faire Faces. Il est le pionnier des greffes de la face depuis 2005.
Il a été assisté de Sylvie TESTELIN, chirurgien maxillo-facial et professeur à l’université Picardie-Jules-Verne.
«À partir de l’histoire des « Gueules Cassées », ces combattants défigurés de la Première Guerre mondiale, «Face à Face» permettra d’évoquer l’évolution de la pensée et des pratiques médicales grâce aux documents et objets choisis dans les collections de quelques illustres chirurgiens de la Grande Guerre. Ces moulages, outils médicaux, photographies, témoignages écrits et filmés seront mis en perspective avec les moyens, techniques et réalisations actuels. Ces exemples traduisent l’importante influence de la rencontre entre des médecins du début du siècle venus de tous horizons au service des soldats défigurés.»
L’exposition s’inscrit dans le cadre du projet européen Interreg «1914Faces2014» dont elle constitue la dernière phase. Elle restitue l’essentiel des travaux de recherche réalisés par les partenaires du projet.
L’exposition se tiendra jusqu’au 11 novembre 2015.
Le fonds Albéric Pont
Pour cette exposition, la BIU Santé prête donc un grand nombre de pièces issues du fonds du Dr Albéric Pont (1870-1960), à l’origine de la création à Lyon en 1914 du premier centre de chirurgie maxillo-faciale en France :
Un ensemble de onze moulages de visages de blessés, dont la plupart sont en plâtre peint et deux en cire colorée
Un album contenant plus de 680 photographies de soldats, avant et après traitement, qui consigne pour chaque blessé les circonstances de la blessure, la date de son entrée dans le service, le diagnostic et la description du traitement. Il recense principalement des opérations pratiquées par le Professeur Vallas et par le Docteur Pont.
En complément de l’album original, certaines pages seront exposées sous forme de reproduction papier et une version numérique complète du document sera accessible sur une borne multimédia.
Une prothèse nasale, et une prothèse oculaire en céramique
Des reproductions de plaques de verre présentant des appareils pour le traitement des fractures des mâchoires.
La BIU Santé prête également un autre document témoignant de l’activité en chirurgie maxillo-faciale, à Marseille cette fois. Il s’agit d’un montage de photographies, réalisé vers 1919 par le Dr F. Bosano de l’Hôtel-Dieu de Marseille, montrant des appareils de maintien, de prothèse et de redressement, photographiés seuls ou en place sur des patients. Cette planche est présente dans l’exposition Les Gueules cassées (rubrique « Document »), sur notre site.
Jusqu’au 9 mars 2015 vous pourrez y découvrir un visage inhabituel de cet architecte controversé, dans une exposition insistant sur son côté visionnaire.
À cette occasion, la BIU Santé a prêté l’un de ses ouvrages :
Traité complet de l’anatomie de l’homme de J.-B. Bourgery et N.H. Jacob.- Paris, 1832-1854. tome I.
À l’occasion du 200e anniversaire de la naissance d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), cette exposition rétrospective présente l’œuvre singulière de ce grand architecte, théoricien et restaurateur, fondateur du musée de Sculpture comparée dont le musée des Monuments français est l’héritier.